Le ministère espagnol de l’Intérieur a annoncé mardi l’annulation d’un contrat d’achat de munitions auprès d’une entreprise israélienne, renforçant ainsi la position de l’Espagne qui s'engage à ne pas vendre d'armes à Israël ni à en acheter auprès de ce pays.
Selon la radio Cadena Ser, la Guardia Civil avait initialement prévu l’acquisition de plus de 15 millions de cartouches de 9 mm pour un montant de six millions d’euros auprès de Guardian LTD, une société israélienne.
En octobre 2023, en réponse aux tensions accrues entre Israël et le Hamas à Gaza, l’Espagne avait décidé de suspendre ses exportations d'armes vers Israël. Cette décision s’inscrivait dans le cadre d’une condamnation de la violence dans la région.
« Le gouvernement espagnol maintient fermement son engagement de ne pas vendre d’armes à Israël depuis l’intensification du conflit à Gaza », indique une déclaration du ministère. Bien qu’il s’agisse d’une acquisition de munitions, le ministère de l’Intérieur a entamé une procédure pour annuler l’achat en question.
Le ministère a également précisé que les entreprises israéliennes seraient exclues de tout appel d’offres en cours. Ce contrat, lancé en février, avait été attribué en partie à une société israélienne le 21 octobre.
Selon la radio Cadena Ser, la Guardia Civil avait initialement prévu l’acquisition de plus de 15 millions de cartouches de 9 mm pour un montant de six millions d’euros auprès de Guardian LTD, une société israélienne.
En octobre 2023, en réponse aux tensions accrues entre Israël et le Hamas à Gaza, l’Espagne avait décidé de suspendre ses exportations d'armes vers Israël. Cette décision s’inscrivait dans le cadre d’une condamnation de la violence dans la région.
« Le gouvernement espagnol maintient fermement son engagement de ne pas vendre d’armes à Israël depuis l’intensification du conflit à Gaza », indique une déclaration du ministère. Bien qu’il s’agisse d’une acquisition de munitions, le ministère de l’Intérieur a entamé une procédure pour annuler l’achat en question.
Le ministère a également précisé que les entreprises israéliennes seraient exclues de tout appel d’offres en cours. Ce contrat, lancé en février, avait été attribué en partie à une société israélienne le 21 octobre.