Le 16 septembre, Aline* se rend à Berne depuis le canton du Jura après avoir beaucoup hésité. «Je n’avais pas forcément envie de manifester mais je voulais montrer que des gens ne sont pas d’accord avec le pass sanitaire et donner un signal», explique cette mère de famille.
Selon 24heures.ch, informée de la tenue de la manifestation via un groupe nommé Actions Suisse sur le réseau Telegram, elle ignore que le défilé n’est pas autorisé par la ville de Berne. À son arrivée, elle retrouve des amis. «C’était une ambiance bon enfant, décontractée, avec beaucoup de bonne humeur.» Le cortège se met en route: «Les seules violences que j’ai vues venaient d’un groupe de personnes qui arrachaient les panneaux des manifestants et de passants qui nous ont insultés.»
Selon 24heures.ch, informée de la tenue de la manifestation via un groupe nommé Actions Suisse sur le réseau Telegram, elle ignore que le défilé n’est pas autorisé par la ville de Berne. À son arrivée, elle retrouve des amis. «C’était une ambiance bon enfant, décontractée, avec beaucoup de bonne humeur.» Le cortège se met en route: «Les seules violences que j’ai vues venaient d’un groupe de personnes qui arrachaient les panneaux des manifestants et de passants qui nous ont insultés.»