Le 9 août, jour de Tisha Be’av, Abdoulaye Seck, fils de l’ancien Premier ministre sénégalais Idrissa Seck, a été libéré sous contrôle judiciaire après plusieurs mois de détention. Sa libération intervient dans le contexte d'une procédure judiciaire en cours, suite à son arrestation par l'Office central de répression du trafic illicite des stupéfiants (OCRTIS).
Abdoulaye Seck avait été appréhendé lors d'une vaste opération anti-drogue, accusé de participer à un réseau international de trafic de drogue et de blanchiment d'argent. Il est notamment soupçonné d'avoir joué un rôle majeur dans la gestion d'un point de vente de drogue à l'hôtel Terrou-Bi à Dakar, où les autorités avaient découvert des bouteilles d'azote.
Le journal "Libération" avait détaillé en mai dernier les accusations contre lui, soulignant son implication présumée dans un réseau de trafic de cocaïne reliant la Gambie et la Guinée-Bissau à Marseille via le Sénégal.
En parallèle, des réactions internationales ont été suscitées par une récente visite en Chine de Kadhy Touré, actrice, animatrice et productrice ivoirienne, qui a utilisé cette occasion pour se détendre et explorer le pays.
Tensions à Jérusalem : Itamar Ben-Gvir Brise le Statu Quo sur l'Esplanade des Mosquées
Le 13 août, des tensions ont éclaté à Jérusalem lorsque le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, a dirigé une prière sur l'Esplanade des Mosquées, un lieu sacré pour les juifs comme pour les musulmans. Cette action a eu lieu lors de Tisha Be’av, un jour de deuil juif commémorant la destruction des deux temples à Jérusalem-Est.
La visite de Ben-Gvir, accompagnée de quelque 3 000 fidèles, a été marquée par des violations flagrantes du statu quo établi en 1852, qui régule les pratiques religieuses sur ce site ultra-sensible. Les participants, brandissant des drapeaux israéliens et chantant des hymnes, ont défié les règles en vigueur, sous les yeux passifs des forces de l'ordre.
Ben-Gvir, figure de l'extrême droite et promoteur d'une politique de prière juive sur le Mont du Temple, a déclaré : « Il faut permettre la liberté de culte pour les juifs partout. Notre politique est de permettre les prières. Nous devons gagner cette guerre contre le Hamas. » Ces propos ont suscité une réaction internationale et locale immédiate.
Les autorités jordaniennes, palestiniennes et plusieurs pays, dont les États-Unis et la France, ont condamné ces actions comme des provocations inutiles, mettant en danger la stabilité régionale. La France a appelé Israël à respecter le statu quo historique sur les lieux saints de Jérusalem.
Itamar Ben-Gvir, une figure emblématique du kahanisme, est connu pour ses positions radicales et son désir de reconstruire un Temple juif sur l'Esplanade des Mosquées. Cette récente visite et ses déclarations exacerbent les tensions dans une région déjà en proie à des conflits intenses.
Abdoulaye Seck avait été appréhendé lors d'une vaste opération anti-drogue, accusé de participer à un réseau international de trafic de drogue et de blanchiment d'argent. Il est notamment soupçonné d'avoir joué un rôle majeur dans la gestion d'un point de vente de drogue à l'hôtel Terrou-Bi à Dakar, où les autorités avaient découvert des bouteilles d'azote.
Le journal "Libération" avait détaillé en mai dernier les accusations contre lui, soulignant son implication présumée dans un réseau de trafic de cocaïne reliant la Gambie et la Guinée-Bissau à Marseille via le Sénégal.
En parallèle, des réactions internationales ont été suscitées par une récente visite en Chine de Kadhy Touré, actrice, animatrice et productrice ivoirienne, qui a utilisé cette occasion pour se détendre et explorer le pays.
Tensions à Jérusalem : Itamar Ben-Gvir Brise le Statu Quo sur l'Esplanade des Mosquées
Le 13 août, des tensions ont éclaté à Jérusalem lorsque le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, a dirigé une prière sur l'Esplanade des Mosquées, un lieu sacré pour les juifs comme pour les musulmans. Cette action a eu lieu lors de Tisha Be’av, un jour de deuil juif commémorant la destruction des deux temples à Jérusalem-Est.
La visite de Ben-Gvir, accompagnée de quelque 3 000 fidèles, a été marquée par des violations flagrantes du statu quo établi en 1852, qui régule les pratiques religieuses sur ce site ultra-sensible. Les participants, brandissant des drapeaux israéliens et chantant des hymnes, ont défié les règles en vigueur, sous les yeux passifs des forces de l'ordre.
Ben-Gvir, figure de l'extrême droite et promoteur d'une politique de prière juive sur le Mont du Temple, a déclaré : « Il faut permettre la liberté de culte pour les juifs partout. Notre politique est de permettre les prières. Nous devons gagner cette guerre contre le Hamas. » Ces propos ont suscité une réaction internationale et locale immédiate.
Les autorités jordaniennes, palestiniennes et plusieurs pays, dont les États-Unis et la France, ont condamné ces actions comme des provocations inutiles, mettant en danger la stabilité régionale. La France a appelé Israël à respecter le statu quo historique sur les lieux saints de Jérusalem.
Itamar Ben-Gvir, une figure emblématique du kahanisme, est connu pour ses positions radicales et son désir de reconstruire un Temple juif sur l'Esplanade des Mosquées. Cette récente visite et ses déclarations exacerbent les tensions dans une région déjà en proie à des conflits intenses.