Activement recherché par Interpol France pour son implication présumée dans le trafic de drogue, cet Espagnol de 55 ans vivait en toute tranquillité dans l’archipel des Bijagos, au large de la Guinée-Bissau, depuis bientôt trois ans.
L'homme se faisait passer tantôt comme un opérateur touristique, tantôt comme un bienfaiteur pour une population qui ignorait tout de lui, jusqu’au moment où les enquêteurs de la police judiciaire l’ont interpellé la semaine dernière. Il attend une extradition vers son pays d’origine dans les prochains jours.
Si cela se concrétise, il serait le premier trafiquant arrêté en Guinée-Bissau et remis à la justice de son pays. Une dizaine d’autres trafiquants de différentes nationalités – des Colombiens, des Vénézuéliens, des Sénégalais et des Nigériens notamment –, appréhendés en septembre 2019 et dont certains sont condamnés à 14 ans de prison ferme, purgent leur peine dans une prison construite par l’ONUDC, l'Office des Nations unies contre les drogues et le crime, qui lutte contre le trafic en Afrique centrale et de l’ouest.
RFI
L'homme se faisait passer tantôt comme un opérateur touristique, tantôt comme un bienfaiteur pour une population qui ignorait tout de lui, jusqu’au moment où les enquêteurs de la police judiciaire l’ont interpellé la semaine dernière. Il attend une extradition vers son pays d’origine dans les prochains jours.
Si cela se concrétise, il serait le premier trafiquant arrêté en Guinée-Bissau et remis à la justice de son pays. Une dizaine d’autres trafiquants de différentes nationalités – des Colombiens, des Vénézuéliens, des Sénégalais et des Nigériens notamment –, appréhendés en septembre 2019 et dont certains sont condamnés à 14 ans de prison ferme, purgent leur peine dans une prison construite par l’ONUDC, l'Office des Nations unies contre les drogues et le crime, qui lutte contre le trafic en Afrique centrale et de l’ouest.
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