C'est le quotidien en ligne "lejournaldupays.com, proche du MFDC, qui a donné la parole aux partisans de ce mouvement indépendantiste. Ces derniers accusent Macky Sall de préparer une guerre en Casamance.
Le jeudi 10 novembre 2016, à l’occasion de la cérémonie officielle de la Journée de l’armée, au Camp Dial Diop de Dakar, sur le thème « la contribution des forces armées sénégalaises dans la protection de l’environnement », le président sénégalais Macky Sall s’alarmait que le mal est profond sur la nature entre dévastation de l’environnement marin, pollution, mais surtout déforestation. Il souligne en ses termes : « On assiste aujourd’hui à un véritable désastre sur nos forêts, surtout dans la partie centre et sud du pays. »
Il déclarait textuellement ceci : « une tolérance zéro contre le trafic illicite de bois sur l’ensemble du territoire national ». Arouna Sané est remonté, lui qui a perdu un de ses amis, victime de la tragédie de Boffa : « Macky Sall est le seul responsable. Ces gens ne prendront jamais le chemin de Ziguinchor jusque dans la forêt classée pour couper plusieurs tonnes de bois depuis plus d’un an s’ils n’ont pas les certificats de coupe des autorités.»
Pour Souleymane Diallo, commerçant à Ziguinchor : « Macky Sall en personne est le principal responsable en nommant un gouverneur, un préfet, un commandant qui encouragent la coupe des troncs de teck. Des scieries clandestines se situent même à quelques centaines de mètres du camp militaire de Ziguinchor et de la gendarmerie du quartier Néma. »
Mamadou Lamine Cissé 52 ans, enseignant ne croit pas aux présidents sénégalais : « la gouvernance en Casamance est pire que tout. Le 18 février 1978, dans sa campagne électorale à Sédhiou, Léopold Sédar Senghor déclare à haute voix: Casamançais, si vous voulez l’indépendance votez PS. Abdoulaye Wade disait : le problème en Casamance sera réglé dans 100 jours. Macky Sall, disait en 2016 la tolérance zéro pour combattre les trafiquants de bois. Aujourd’hui nous enterrons nos morts», ce dernier dans le quotidien lejournaldupays.com
Le jeudi 10 novembre 2016, à l’occasion de la cérémonie officielle de la Journée de l’armée, au Camp Dial Diop de Dakar, sur le thème « la contribution des forces armées sénégalaises dans la protection de l’environnement », le président sénégalais Macky Sall s’alarmait que le mal est profond sur la nature entre dévastation de l’environnement marin, pollution, mais surtout déforestation. Il souligne en ses termes : « On assiste aujourd’hui à un véritable désastre sur nos forêts, surtout dans la partie centre et sud du pays. »
Il déclarait textuellement ceci : « une tolérance zéro contre le trafic illicite de bois sur l’ensemble du territoire national ». Arouna Sané est remonté, lui qui a perdu un de ses amis, victime de la tragédie de Boffa : « Macky Sall est le seul responsable. Ces gens ne prendront jamais le chemin de Ziguinchor jusque dans la forêt classée pour couper plusieurs tonnes de bois depuis plus d’un an s’ils n’ont pas les certificats de coupe des autorités.»
Pour Souleymane Diallo, commerçant à Ziguinchor : « Macky Sall en personne est le principal responsable en nommant un gouverneur, un préfet, un commandant qui encouragent la coupe des troncs de teck. Des scieries clandestines se situent même à quelques centaines de mètres du camp militaire de Ziguinchor et de la gendarmerie du quartier Néma. »
Mamadou Lamine Cissé 52 ans, enseignant ne croit pas aux présidents sénégalais : « la gouvernance en Casamance est pire que tout. Le 18 février 1978, dans sa campagne électorale à Sédhiou, Léopold Sédar Senghor déclare à haute voix: Casamançais, si vous voulez l’indépendance votez PS. Abdoulaye Wade disait : le problème en Casamance sera réglé dans 100 jours. Macky Sall, disait en 2016 la tolérance zéro pour combattre les trafiquants de bois. Aujourd’hui nous enterrons nos morts», ce dernier dans le quotidien lejournaldupays.com