Moustapha Guirassy, leader du parti Sénégalais unis pour le développement (S.U.D), également candidat à la Présidentielle de 2019, a fait des promesses choquantes relatives à ses projets de société qu’il compte instaurer une fois élu à la magistrature suprême .
Invité de l’émission le Talk SEN TV ce jeudi 8 novembre, Moustapha Guirassy, envisage des réformes inouïes sur le système éducatif sénégalais notamment la suppression des ministères de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur. Il envisage de les réduire en un seul ministère dénommé Ministère de l’Economie de la Connaissance. Il compte également éliminer le diplôme de baccalauréat, une fois élu Président de la République du Sénégal.
Pour le patron de S.U.D, la connaissance a une valeur, que malheureusement, ce système éducatif, hérité de la colonisation, ne permet de mettre en exerce. Surtout avec ses enseignements sanctionnés par des diplômes qui, selon lui, ne mesurent absolument rien.
« L’Economie de la connaissance, dit-il, est un système intelligent qui va permettre l’éclosion des connaissances qui ne seront pas forcément attestées par des diplômes, mais aussi, le savoir-faire. Son soubassement est que les élèves qui sont dans le circuit éducatif ne doivent pas tous avoir comme destination les Universités publiques et privées, ou les Ecoles nationales qui recrutent sur la base de concours, mais orientés très tôt dans d’autres filières professionnelles. »
Regardez !
Invité de l’émission le Talk SEN TV ce jeudi 8 novembre, Moustapha Guirassy, envisage des réformes inouïes sur le système éducatif sénégalais notamment la suppression des ministères de l’Education nationale et de l’Enseignement supérieur. Il envisage de les réduire en un seul ministère dénommé Ministère de l’Economie de la Connaissance. Il compte également éliminer le diplôme de baccalauréat, une fois élu Président de la République du Sénégal.
Pour le patron de S.U.D, la connaissance a une valeur, que malheureusement, ce système éducatif, hérité de la colonisation, ne permet de mettre en exerce. Surtout avec ses enseignements sanctionnés par des diplômes qui, selon lui, ne mesurent absolument rien.
« L’Economie de la connaissance, dit-il, est un système intelligent qui va permettre l’éclosion des connaissances qui ne seront pas forcément attestées par des diplômes, mais aussi, le savoir-faire. Son soubassement est que les élèves qui sont dans le circuit éducatif ne doivent pas tous avoir comme destination les Universités publiques et privées, ou les Ecoles nationales qui recrutent sur la base de concours, mais orientés très tôt dans d’autres filières professionnelles. »
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