Ils sont dix-huit adolescents à être impliqués dans une affaire de constitution d’une association de malfaiteurs, kidnapping, séquestration, viol collectif, coups et blessures, vol sous la menace d’arme blanche, ivresse et consommation de drogue, qui ont été traduits, le mardi 3 mai, devant le parquet général près la Cour d’appel de Beni Mellal.
L’affaire remonte au mercredi 27 avril, vers 16h, quand Mohamed, âgé de cinquante-huit ans, divorcé et père de quatre enfants, et Bouchra, âgée de trente-six ans, divorcée et mère d’un enfant, qui demeurent, tous les deux, au quartier Ouled Sidi Chennane, commune El Krifate, à Fkih Ben Saleh, décident, après avoir terminé leur commerce au souk hebdomadaire Larbâa Fkih Ben Saleh, d’aller, comme à l’accoutumée, au champ d’oliviers pour s’enivrer ensemble avec de l’eau-de-vie et fumer du kif.
Loin des regards des curieux, tous les deux ont pris une place sous un olivier. Sur un petit tapis, ils ont étalé la bouteille de l’eau-de-vie, un seul verre, le kif et le sebsi. Après avoir échangé de furtifs baisers, ils ont rempli le premier verre qu’ils ont ingurgité d’un seul trait et fumé du kif. Tout semblait être normal. Tout à coup, ils ont remarqué la présence d’une bande d’adolescents pas très loin d’eux.
Aussitôt, ils ont décidé de changer d’endroit. Mais, les adolescents se sont approchés d’eux. Ils s’empressaient de partir quand les garçons se sont plantés debout devant eux, les empêchant de partir. Mohamed et Bouchra les ont suppliés de les laisser partir. Mais en vain. D’abord, ils ont fouillé leurs poches et ont mis la main sur une somme de 400 DH qu’ils ont trouvée chez le quinquagénaire qui a sauvé sa peau en tournant le dos à sa maîtresse à laquelle ils ont volé une somme de 90 DH. Celle-ci est restée entre les griffes de la bande d’adolescents. Ils l’ont déshabillée avant de la violer à tour de rôle.
Arrêtés entre le samedi 30 avril et le 1er mai, sept des dix-huit agresseurs arrêtés par les éléments de la gendarmerie royale ont avoué l’avoir violée une seule fois, alors que trois mineurs ont affirmé l’avoir violée à trois reprises. Les autres mis en cause impliqués dans cette affaire ont précisé qu’ils n’ont pas touché la victime, mais ils ne sont pas intervenus non plus pour la sauver, ni avoir alerté la police ou les gendarmes.
C’était l’un des membres de cette bande, avouent les mis en cause, qui a remarqué le couple dans le champ d’oliviers et a décidé d’appeler ses amis pour les encercler, les agresser, maltraiter l’homme qui a pris la fuite et violé sauvagement la femme avant de l’abandonner dans un état lamentable.
L’affaire remonte au mercredi 27 avril, vers 16h, quand Mohamed, âgé de cinquante-huit ans, divorcé et père de quatre enfants, et Bouchra, âgée de trente-six ans, divorcée et mère d’un enfant, qui demeurent, tous les deux, au quartier Ouled Sidi Chennane, commune El Krifate, à Fkih Ben Saleh, décident, après avoir terminé leur commerce au souk hebdomadaire Larbâa Fkih Ben Saleh, d’aller, comme à l’accoutumée, au champ d’oliviers pour s’enivrer ensemble avec de l’eau-de-vie et fumer du kif.
Loin des regards des curieux, tous les deux ont pris une place sous un olivier. Sur un petit tapis, ils ont étalé la bouteille de l’eau-de-vie, un seul verre, le kif et le sebsi. Après avoir échangé de furtifs baisers, ils ont rempli le premier verre qu’ils ont ingurgité d’un seul trait et fumé du kif. Tout semblait être normal. Tout à coup, ils ont remarqué la présence d’une bande d’adolescents pas très loin d’eux.
Aussitôt, ils ont décidé de changer d’endroit. Mais, les adolescents se sont approchés d’eux. Ils s’empressaient de partir quand les garçons se sont plantés debout devant eux, les empêchant de partir. Mohamed et Bouchra les ont suppliés de les laisser partir. Mais en vain. D’abord, ils ont fouillé leurs poches et ont mis la main sur une somme de 400 DH qu’ils ont trouvée chez le quinquagénaire qui a sauvé sa peau en tournant le dos à sa maîtresse à laquelle ils ont volé une somme de 90 DH. Celle-ci est restée entre les griffes de la bande d’adolescents. Ils l’ont déshabillée avant de la violer à tour de rôle.
Arrêtés entre le samedi 30 avril et le 1er mai, sept des dix-huit agresseurs arrêtés par les éléments de la gendarmerie royale ont avoué l’avoir violée une seule fois, alors que trois mineurs ont affirmé l’avoir violée à trois reprises. Les autres mis en cause impliqués dans cette affaire ont précisé qu’ils n’ont pas touché la victime, mais ils ne sont pas intervenus non plus pour la sauver, ni avoir alerté la police ou les gendarmes.
C’était l’un des membres de cette bande, avouent les mis en cause, qui a remarqué le couple dans le champ d’oliviers et a décidé d’appeler ses amis pour les encercler, les agresser, maltraiter l’homme qui a pris la fuite et violé sauvagement la femme avant de l’abandonner dans un état lamentable.