Humiliés, ridiculisés et battus, vont-ils enfin se décider à apprendre l’humilité ? Il s’agit bien des médias dits de masse. Ils ont effectivement déclaré la guerre à Donald Trump, l’ont insulté, maltraité et banni pour cause de « débilité » aggravée. Ils ont pris fait et cause pour sa rivale, Hillary Clinton, l’ont encensée, portée, célébrée et magnifiée, pour rien. Elle a échoué, elle a chuté, elle s’écroule à nouveau, presque définitivement. Cette fois, ce n’est pas pour un malaise car elle ne se relèvera plus. Et les cachets contre la pneumonie ne suffiront pas.
Ses soutiens médiatiques sont hagards, ils se demandent ce qui a bien pu se passer. Ils se demandent où sont passés les Africains-Américains et les Hispaniques, sur qui comptait Hillary pour aller à la Maison Blanche. Pourtant, ils ont réquisitionnés des cars pour les ramasser devant des églises, comme du bétail, et les conduire directement devant les bureaux de vote, avec des sandwiches et du coca. Depuis qu’on les avait oubliés, on s’est souvenu brusquement qu’ils pouvaient servir, qu’ils étaient utiles, qu’ils pouvaient voter non pas pour le candidat de leur choix mais seulement pour les démocrates et pour Hillary. Il fallait fuir le monstre, le dangereux, la grand satan, bref le mal incarné, celui qui n’a jamais été ni gouverneur, ni sénateur ni secrétaire d’Etat mais que l’on désigne partout comme raciste, horrible, malfaisant et débile.
Aux yeux des médias Hillary n’a jamais été raciste, elle n’a jamais dit du mal de son « ami » de circonstance : le président sortant. Elle n’a jamais fait le moindre mal. Elle est dans « l’axe du bien » puisque même les Bush, partout bienfaisants, ont voté pour elle. Même la mamy Babara Bush a dit qu’elle ne sait pas « comment des femmes peuvent voter pour Trump ». Le coup de pouce de mamy n’a manifestement pas suffi. Des femmes ont quand-même voté pour le « sexiste » à moitié « débile ». Elles sont peut-être aussi « débiles » pour ne pas voir le talent de l’avocate Clinton. Mais combien de fois Hillary a-t-elle pris la parole pour s’indigner des bavures policières qui inondent les sites américains contre les Africains-Américains ? Combien de fois l’a-t-on vu défendre les injustices touchant des Africains-Américains condamnés à tort et qui encombrent depuis des années les couloirs de la mort ? Certains Africains-Américains nous ont dit qu’ils en avaient marre de voter depuis plus 60 ans pour les démocrates sans jamais voir de changement dans leurs droits les plus élémentaires. Certains ont même avoué avoir voté pour Trump car ils étaient choqués par la propagande obscène des médias américains en faveur des Clinton. Ceux-là doivent aussi être des « débiles »…
Certains amis hispaniques nous ont dit qu’on les prenait pour des « boucliers humains » dans le combat qui était mené contre Trump. Ils avouaient que cette façon de les utiliser dans un combat qui n’était pas le leur frisait le mépris et l’humiliation. Ils ne trouvaient pas les mots crus de Trump pire que l’hypocrisie d’Hillary. Ont-ils été « débiles » eux aussi ?
Voilà tout de même des éléments qui, pour des éditorialistes et commentateurs chevronnés des médias de masse, auraient été utiles à la réflexion. Mais il y a longtemps que la réflexion et l’analyse ont déserté les grandes rédactions. Il y a très longtemps qu’ils ont choisi d’éliminer ou d’exclure ceux qui pensent à côté ou qui pensent mal, selon eux. Ils les traitent de « radicaux », de « théoriciens du complot » ou de « complotistes ». Ils ont inventé un lexique injurieux et « éliminatoire » pour disqualifier ceux qui posent parfois de vraies questions et qui soulèvent de vrais problèmes.
Alors, à cette heure, il semble bien que ce soit définitivement TRUMP ; les mécontents et les inquiets peuvent fuir vers un pays africain qui n’est pas raciste et qui est très respectueux des droits de l’Homme : le Rwanda, dont le président-dictateur Paul Kagame, après avoir fait assassiner des millions de Rwandais et de Congolais, est demeuré un grand ami des Clinton. D’autre peuvent aussi saisir en urgence le comité des droits de l’Homme de l’ONU pour demander à s’exiler au Sud-Soudan, en Somalie, en RDC, en Afghanistan ou en Syrie. Au cas où leur demandes étaient rejetées, ils peuvent téléphoner directement à Fidel Castro pour voir s’il peut demander à Raoul, son frère, d’intervenir à titre humanitaire pour tous les Américains qui ont peur de Trump. Si toutes ces voies échouent, alors il faut rejoindre les Blacks Panthers et proposer à Hillary Clinton, la non-raciste, d’en être la présidente d’honneur. Peut-être qu’elle peut devenir l’avocate de Mumia Abu Jamal et l’aider à sortir de prison. Ce serait une belle reconversion et une action salvatrice pour la lutte contre le racisme et l’injustice…
Ses soutiens médiatiques sont hagards, ils se demandent ce qui a bien pu se passer. Ils se demandent où sont passés les Africains-Américains et les Hispaniques, sur qui comptait Hillary pour aller à la Maison Blanche. Pourtant, ils ont réquisitionnés des cars pour les ramasser devant des églises, comme du bétail, et les conduire directement devant les bureaux de vote, avec des sandwiches et du coca. Depuis qu’on les avait oubliés, on s’est souvenu brusquement qu’ils pouvaient servir, qu’ils étaient utiles, qu’ils pouvaient voter non pas pour le candidat de leur choix mais seulement pour les démocrates et pour Hillary. Il fallait fuir le monstre, le dangereux, la grand satan, bref le mal incarné, celui qui n’a jamais été ni gouverneur, ni sénateur ni secrétaire d’Etat mais que l’on désigne partout comme raciste, horrible, malfaisant et débile.
Aux yeux des médias Hillary n’a jamais été raciste, elle n’a jamais dit du mal de son « ami » de circonstance : le président sortant. Elle n’a jamais fait le moindre mal. Elle est dans « l’axe du bien » puisque même les Bush, partout bienfaisants, ont voté pour elle. Même la mamy Babara Bush a dit qu’elle ne sait pas « comment des femmes peuvent voter pour Trump ». Le coup de pouce de mamy n’a manifestement pas suffi. Des femmes ont quand-même voté pour le « sexiste » à moitié « débile ». Elles sont peut-être aussi « débiles » pour ne pas voir le talent de l’avocate Clinton. Mais combien de fois Hillary a-t-elle pris la parole pour s’indigner des bavures policières qui inondent les sites américains contre les Africains-Américains ? Combien de fois l’a-t-on vu défendre les injustices touchant des Africains-Américains condamnés à tort et qui encombrent depuis des années les couloirs de la mort ? Certains Africains-Américains nous ont dit qu’ils en avaient marre de voter depuis plus 60 ans pour les démocrates sans jamais voir de changement dans leurs droits les plus élémentaires. Certains ont même avoué avoir voté pour Trump car ils étaient choqués par la propagande obscène des médias américains en faveur des Clinton. Ceux-là doivent aussi être des « débiles »…
Certains amis hispaniques nous ont dit qu’on les prenait pour des « boucliers humains » dans le combat qui était mené contre Trump. Ils avouaient que cette façon de les utiliser dans un combat qui n’était pas le leur frisait le mépris et l’humiliation. Ils ne trouvaient pas les mots crus de Trump pire que l’hypocrisie d’Hillary. Ont-ils été « débiles » eux aussi ?
Voilà tout de même des éléments qui, pour des éditorialistes et commentateurs chevronnés des médias de masse, auraient été utiles à la réflexion. Mais il y a longtemps que la réflexion et l’analyse ont déserté les grandes rédactions. Il y a très longtemps qu’ils ont choisi d’éliminer ou d’exclure ceux qui pensent à côté ou qui pensent mal, selon eux. Ils les traitent de « radicaux », de « théoriciens du complot » ou de « complotistes ». Ils ont inventé un lexique injurieux et « éliminatoire » pour disqualifier ceux qui posent parfois de vraies questions et qui soulèvent de vrais problèmes.
Alors, à cette heure, il semble bien que ce soit définitivement TRUMP ; les mécontents et les inquiets peuvent fuir vers un pays africain qui n’est pas raciste et qui est très respectueux des droits de l’Homme : le Rwanda, dont le président-dictateur Paul Kagame, après avoir fait assassiner des millions de Rwandais et de Congolais, est demeuré un grand ami des Clinton. D’autre peuvent aussi saisir en urgence le comité des droits de l’Homme de l’ONU pour demander à s’exiler au Sud-Soudan, en Somalie, en RDC, en Afghanistan ou en Syrie. Au cas où leur demandes étaient rejetées, ils peuvent téléphoner directement à Fidel Castro pour voir s’il peut demander à Raoul, son frère, d’intervenir à titre humanitaire pour tous les Américains qui ont peur de Trump. Si toutes ces voies échouent, alors il faut rejoindre les Blacks Panthers et proposer à Hillary Clinton, la non-raciste, d’en être la présidente d’honneur. Peut-être qu’elle peut devenir l’avocate de Mumia Abu Jamal et l’aider à sortir de prison. Ce serait une belle reconversion et une action salvatrice pour la lutte contre le racisme et l’injustice…