Pauvreté et promiscuité, c’est ce qui frappe, de prime abord, à Grand-Médine. Ce quartier de la commune de Patte d’Oie est très animé en cet après-midi du jeudi 31 mars 2015. Dans cette localité, considérée comme l’un des plus grands bidonvilles de la capitale sénégalaise, des cabanes et quelques immeubles modernes se côtoient. Créant un contraste saisissant entre une certaine opulence et une pauvreté extrême. En empruntant les ruelles très étroites et très sablonneuses du quartier, un autre constat happe le visiteur : la forte concentration humaine. Les habitants de cette localité nichée entre les Parcelles Assainies, le stade Léopold Sédar Senghor (LSS) et la commune de Grand-Yoff, vivent de manière permanente sous la hantise d’un déguerpissement. Déjà, lors de la construction du Stade LSS, une grande partie du quartier avait été rasée.
Vidéo: Démolition de 160 maisons à Grande Médine: Les populations menacent le régime
Vendredi 1 Avril 2016
Pauvreté et promiscuité, c’est ce qui frappe, de prime abord, à Grand-Médine. Ce quartier de la commune de Patte d’Oie est très animé en cet après-midi du jeudi 31 mars 2015. Dans cette localité, considérée comme l’un des plus grands bidonvilles de la capitale sénégalaise, des cabanes et quelques immeubles modernes se côtoient. Créant un contraste saisissant entre une certaine opulence et une pauvreté extrême. En empruntant les ruelles très étroites et très sablonneuses du quartier, un autre constat happe le visiteur : la forte concentration humaine. Les habitants de cette localité nichée entre les Parcelles Assainies, le stade Léopold Sédar Senghor (LSS) et la commune de Grand-Yoff, vivent de manière permanente sous la hantise d’un déguerpissement. Déjà, lors de la construction du Stade LSS, une grande partie du quartier avait été rasée.
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