Les acteurs culturels et touristiques de la région de Ziguinchor ont fustigé avec la dernière énergie l'absence des autorités Sénégalaises à la cérémonie d'ouverture du grand Festival Koom-Koom sur la Calebasse à Ziguinchor.
En effet, ce grand rendez-vous culturel et touristique qui a pour but de vendre la destination Casamance semble être méprisé par les autorités Sénégalaises.
Car,malgré les correspondances envoyées par les organisateurs aux ministères de la culture, du tourisme et celui de l'environnement, ces derniers ont tout bonnement brillé par leur absence. L'administration territoriale (Gouverneuret préfet) également absente. Partenaire numéro 1 du festival Koom-Koom, la mairie de Ziguinchor a également fait faux-bond.
L'absence des autorités administratives gâche la fête du Ministre Gambien de la Culture et du Tourisme...
Conscient de l'importance du projet dans le développement socio-économique, le ministre Gambien chargé de la Culture et du Tourisme, monsieur Hamat Ba s'est déplacé jusqu'à Ziguinchor pour copier sur le modèle Sénégalais avec les organisateurs du festival Koom-Koom. Malheureusement, ce dernier n'a pas pu se rendre au village du festival pour protester contre la non-présence ne ce reste d'une seule autorité locale.
"Nous voulons interpellé le chef de l'Etat Macky Sall pour lui dire que nous ne sommes pas du tout content de ses ministres. Parce que nous savons adressé des correspondances au ministre de la Culture, au ministre du Tourisme et celui de l'Environnement...mais malheureusement, nous n'avons pas eu de suite. C'est à la limite un manque de respect et considération. Parce que nous, c'est qui nous intéresse c'est de Vendre la Destination Casamance. Nous remercionsle ministre Gambien du Tourisme et de la Culture, monsieur Amat Bah qui a compriset qui est venu. Lui, c'est le ministre Africain chargé du Tourisme etdela Culture" regrette Khalifa Dramé, président du Gie Goorgorlou et initiateur du Festival Koom-Koom sur la Calebasse.
Signalons que la 14ème édition du festival Koom-Koom sur la Calebasse qui se tient du 23 au 26 décembre est parti pour être un succès à l'image des éditions précédentes.
En effet, ce grand rendez-vous culturel et touristique qui a pour but de vendre la destination Casamance semble être méprisé par les autorités Sénégalaises.
Car,malgré les correspondances envoyées par les organisateurs aux ministères de la culture, du tourisme et celui de l'environnement, ces derniers ont tout bonnement brillé par leur absence. L'administration territoriale (Gouverneuret préfet) également absente. Partenaire numéro 1 du festival Koom-Koom, la mairie de Ziguinchor a également fait faux-bond.
L'absence des autorités administratives gâche la fête du Ministre Gambien de la Culture et du Tourisme...
Conscient de l'importance du projet dans le développement socio-économique, le ministre Gambien chargé de la Culture et du Tourisme, monsieur Hamat Ba s'est déplacé jusqu'à Ziguinchor pour copier sur le modèle Sénégalais avec les organisateurs du festival Koom-Koom. Malheureusement, ce dernier n'a pas pu se rendre au village du festival pour protester contre la non-présence ne ce reste d'une seule autorité locale.
"Nous voulons interpellé le chef de l'Etat Macky Sall pour lui dire que nous ne sommes pas du tout content de ses ministres. Parce que nous savons adressé des correspondances au ministre de la Culture, au ministre du Tourisme et celui de l'Environnement...mais malheureusement, nous n'avons pas eu de suite. C'est à la limite un manque de respect et considération. Parce que nous, c'est qui nous intéresse c'est de Vendre la Destination Casamance. Nous remercionsle ministre Gambien du Tourisme et de la Culture, monsieur Amat Bah qui a compriset qui est venu. Lui, c'est le ministre Africain chargé du Tourisme etdela Culture" regrette Khalifa Dramé, président du Gie Goorgorlou et initiateur du Festival Koom-Koom sur la Calebasse.
Signalons que la 14ème édition du festival Koom-Koom sur la Calebasse qui se tient du 23 au 26 décembre est parti pour être un succès à l'image des éditions précédentes.