A l’instar des autres localités du pays, les femmes du département ont célébré la journée internationale du 8 Mars.Des conférences ,du folkhlore et la présence d’autorités administratives étaient au menu de leur rencontre.Pour une première, nous sommes intérésés aux braves femmes, regroupées en coopératives ou individuellement dans le bassin de l’anambé.
Parmi elles, Fatoumata Sabaly, productrice de riz et de semences certifiées a exprimé toute son amertume face aux multiples obstacles qu’elles rencontrent dans les domaines de la riziculture, du maraichage, du commerce etc.Elle demande à ce que leurs sœurs, mamans s’impliquent pleinement dans la vie active. Elles méritent une capacitation pour subvenir à leurs besoins.
Aussi elles réclament plus de terres , des financements pour améliorer le niveau de rendement du riz et le revenu des productrices. Elles veulent atteindre l’autosuffisance alimentaire en pataugeant dans la boue des parcelles. Pendant la saison hivernale comme séche,les femmes de la contrée sont dans les riziéres , les champs pour vaincre la faim et la pauvreté.Selon la reine du riz certifiée,les femmes doivent serrer la ceinture pour nourrir leur progéniture et d’exporter vers d’autres horizons leurs produits céréaliers.
A noter que la culture du blé aussi est en phase test pour cette nouvelle contre saison dans le bassin de l’anambé.Elles invitent l’Etat du Sénégal d’entrer de plain pied dans cette dynamique pour résorber le gap d’emplois dont souffrent les femmes et les jeunes et de réussir le pari de l’autosuffisance alimentaire dans le pays.Et pour conclure ,elle souhaiterait que ses soeurs soient dans les grandes instances de décisions pour faire valoir leurs potentialités.
Elhadji Lonka Sabaly
Parmi elles, Fatoumata Sabaly, productrice de riz et de semences certifiées a exprimé toute son amertume face aux multiples obstacles qu’elles rencontrent dans les domaines de la riziculture, du maraichage, du commerce etc.Elle demande à ce que leurs sœurs, mamans s’impliquent pleinement dans la vie active. Elles méritent une capacitation pour subvenir à leurs besoins.
Aussi elles réclament plus de terres , des financements pour améliorer le niveau de rendement du riz et le revenu des productrices. Elles veulent atteindre l’autosuffisance alimentaire en pataugeant dans la boue des parcelles. Pendant la saison hivernale comme séche,les femmes de la contrée sont dans les riziéres , les champs pour vaincre la faim et la pauvreté.Selon la reine du riz certifiée,les femmes doivent serrer la ceinture pour nourrir leur progéniture et d’exporter vers d’autres horizons leurs produits céréaliers.
A noter que la culture du blé aussi est en phase test pour cette nouvelle contre saison dans le bassin de l’anambé.Elles invitent l’Etat du Sénégal d’entrer de plain pied dans cette dynamique pour résorber le gap d’emplois dont souffrent les femmes et les jeunes et de réussir le pari de l’autosuffisance alimentaire dans le pays.Et pour conclure ,elle souhaiterait que ses soeurs soient dans les grandes instances de décisions pour faire valoir leurs potentialités.
Elhadji Lonka Sabaly