Dans une lettre ouverte adressée à Ousmane Sonko, Abbé André Latyr Ndiaye offre des conseils sur l’art de gouverner avec respect et prudence, en réponse à la récente déclaration de Sonko concernant l'interdiction du voile dans certaines écoles.
L'Abbé Ndiaye commence par rappeler l'importance de la politesse et de la diplomatie dans le discours politique. Il cite des proverbes latins et des figures historiques pour illustrer que "la politesse est l'apanage des rois et des princes" et que même "une déclaration de guerre doit observer les règles de la politesse," selon Otto von Bismarck. Il souligne que la manière de communiquer est cruciale, même pour les déclarations importantes.
Ousmane Sonko avait critiqué le refus de certaines écoles d'accueillir des élèves portant le voile. L'Abbé Ndiaye juge ces propos inappropriés et menaçants. Il exhorte Sonko à éviter les déclarations provocatrices et à traiter les institutions avec le respect qu’elles méritent. "Dans la salle du Grand Théâtre de Dakar, où l'excellence était célébrée, ces paroles ont résonné comme des grondements de tonnerre. Il est clair qu'un orage se prépare pour la rentrée scolaire prochaine," observe-t-il.
L'Abbé insiste sur le fait que la politique doit être menée avec sagesse et élégance, et non avec arrogance ou précipitation. Il exprime son inquiétude que les déclarations de Sonko puissent être perçues comme des menaces ou une déclaration de guerre. Il espère que ces propos ne seront pas le reflet du Projet ou de la Déclaration de Politique Générale attendue par le public.
De plus, Abbé Ndiaye met en garde contre la tentation d'utiliser la politique pour mener des combats religieux ou symboliques. Il rappelle que les préoccupations politiques doivent se concentrer sur des problèmes concrets comme la pauvreté, le chômage et la vie chère, et non sur des questions de foi ou de symboles religieux. "Arrêtons de prendre Dieu comme un éternel mineur, qui compterait sur nos forces pour brandir partout son étendard," affirme-t-il. Il souligne que Dieu n’a pas besoin de notre force pour se défendre et que les combats politiques doivent se concentrer sur des enjeux plus tangibles.
Pour conclure, l'Abbé Ndiaye conseille à Ousmane Sonko de revoir sa rhétorique pour éviter les déclarations belliqueuses. Il insiste sur le fait que la précipitation et les actions irréfléchies peuvent nuire à sa carrière. En se référant à une citation biblique, il encourage Sonko à faire preuve de réflexion et de prudence dans ses futures actions. "Évitez la vitesse et la précipitation, les déclarations va-t-en guerre. Changez votre rhétorique de guerre sinon elle risque de vous perdre !"
L'Abbé Ndiaye commence par rappeler l'importance de la politesse et de la diplomatie dans le discours politique. Il cite des proverbes latins et des figures historiques pour illustrer que "la politesse est l'apanage des rois et des princes" et que même "une déclaration de guerre doit observer les règles de la politesse," selon Otto von Bismarck. Il souligne que la manière de communiquer est cruciale, même pour les déclarations importantes.
Ousmane Sonko avait critiqué le refus de certaines écoles d'accueillir des élèves portant le voile. L'Abbé Ndiaye juge ces propos inappropriés et menaçants. Il exhorte Sonko à éviter les déclarations provocatrices et à traiter les institutions avec le respect qu’elles méritent. "Dans la salle du Grand Théâtre de Dakar, où l'excellence était célébrée, ces paroles ont résonné comme des grondements de tonnerre. Il est clair qu'un orage se prépare pour la rentrée scolaire prochaine," observe-t-il.
L'Abbé insiste sur le fait que la politique doit être menée avec sagesse et élégance, et non avec arrogance ou précipitation. Il exprime son inquiétude que les déclarations de Sonko puissent être perçues comme des menaces ou une déclaration de guerre. Il espère que ces propos ne seront pas le reflet du Projet ou de la Déclaration de Politique Générale attendue par le public.
De plus, Abbé Ndiaye met en garde contre la tentation d'utiliser la politique pour mener des combats religieux ou symboliques. Il rappelle que les préoccupations politiques doivent se concentrer sur des problèmes concrets comme la pauvreté, le chômage et la vie chère, et non sur des questions de foi ou de symboles religieux. "Arrêtons de prendre Dieu comme un éternel mineur, qui compterait sur nos forces pour brandir partout son étendard," affirme-t-il. Il souligne que Dieu n’a pas besoin de notre force pour se défendre et que les combats politiques doivent se concentrer sur des enjeux plus tangibles.
Pour conclure, l'Abbé Ndiaye conseille à Ousmane Sonko de revoir sa rhétorique pour éviter les déclarations belliqueuses. Il insiste sur le fait que la précipitation et les actions irréfléchies peuvent nuire à sa carrière. En se référant à une citation biblique, il encourage Sonko à faire preuve de réflexion et de prudence dans ses futures actions. "Évitez la vitesse et la précipitation, les déclarations va-t-en guerre. Changez votre rhétorique de guerre sinon elle risque de vous perdre !"