L’ancien député et actuel coordonnateur du parti Pastef dans la commune de Ziguinchor, Abdou Sané, a vivement critiqué ce qu’il qualifie de « pseudo-opposition » au Sénégal. Dans une déclaration à la presse, il remet en question la légitimité de certains acteurs politiques qui, selon lui, usurpent le statut d'opposants pour masquer des frustrations personnelles et des intérêts inavouables.
« On confond opposants et frustrés... En réalité, nous avons affaire plus à des frustrés qu'à des opposants dans le contexte politique sénégalais actuel », a-t-il affirmé d’emblée.
Poursuivant sa charge, l’ancien parlementaire a dressé un portrait sévère de ceux qu’il considère comme des nostalgiques d’un système révolu :
« Des nostalgiques de la mal gouvernance et de la délinquance sous toutes ses formes : agresseurs de tout acabit, falsificateurs de lois organiques et de documents administratifs tels que les passeports et visas, trafiquants de drogue et de faux billets de banque, militants de la concussion, de la corruption, protecteurs de trafiquants de faux médicaments, détourneurs de deniers publics... »
Selon Abdou Sané, ces acteurs politiques recourent au qualificatif d’opposant pour dissimuler des ambitions personnelles et un désir de revanche :
« Ces frustrés d'un certain genre se réfugient désespérément sous le manteau du noble terme d'opposant en vue de trouver une tribune à partir de laquelle ils pourraient refouler leur ignoble amertume. »
Réaffirmant son soutien à la rupture engagée par les nouvelles autorités, il insiste sur l’irréversibilité du changement enclenché depuis l’élection du président Bassirou Diomaye Faye :
« La rupture est et demeure irréversible. Aucune place pour la pagaille institutionnalisée au cœur de la République et érigée en mode de gouvernance ! »
Il se montre également confiant quant à l’avenir du Sénégal sous l’égide des nouvelles figures de l’Exécutif : « Une nouvelle génération a gagné le cœur et la confiance du brave peuple souverain sénégalais. Cette génération va assurément viser le sommet de la bonne gouvernance et conduire le pays vers un développement dont les fruits seront équitablement partagés par les différentes composantes de notre société. » Fustigeant les « gesticulations » et « boycotts » parlementaires, Abdou Sané met en garde contre toute tentative de pression ou de chantage politique :
« Le chantage, la pression, la compromission et autres manœuvres ne sauraient prospérer. Le Sénégal, sous l'autorité du fin et clairvoyant président Diomaye Faye et sous l'engagement du brillant et charismatique Premier ministre Ousmane Sonko, ne saurait céder à une quelconque pression. »
Enfin, il conclut sur une note d’espoir, soulignant la volonté du nouveau régime de rompre avec les causes profondes de la pauvreté :
« La seule préoccupation des nouvelles autorités... est de prouver que la pauvreté et la misère ne sont pas une fatalité. Elles sont provoquées. Par conséquent, il est possible de sortir notre pays de la triste et sombre place de pays sous-développés, en actionnant la volonté politique et le battement ininterrompu de la fibre patriotique. »
Et d’ajouter : « Ainsi, les Sénégalais quitteront le statut de peuple écrasé, dominé, exploité et humilié, pour retrouver l'image rayonnante, respectable et digne d'un peuple debout, souverain, digne et prospère. »
« On confond opposants et frustrés... En réalité, nous avons affaire plus à des frustrés qu'à des opposants dans le contexte politique sénégalais actuel », a-t-il affirmé d’emblée.
Poursuivant sa charge, l’ancien parlementaire a dressé un portrait sévère de ceux qu’il considère comme des nostalgiques d’un système révolu :
« Des nostalgiques de la mal gouvernance et de la délinquance sous toutes ses formes : agresseurs de tout acabit, falsificateurs de lois organiques et de documents administratifs tels que les passeports et visas, trafiquants de drogue et de faux billets de banque, militants de la concussion, de la corruption, protecteurs de trafiquants de faux médicaments, détourneurs de deniers publics... »
Selon Abdou Sané, ces acteurs politiques recourent au qualificatif d’opposant pour dissimuler des ambitions personnelles et un désir de revanche :
« Ces frustrés d'un certain genre se réfugient désespérément sous le manteau du noble terme d'opposant en vue de trouver une tribune à partir de laquelle ils pourraient refouler leur ignoble amertume. »
Réaffirmant son soutien à la rupture engagée par les nouvelles autorités, il insiste sur l’irréversibilité du changement enclenché depuis l’élection du président Bassirou Diomaye Faye :
« La rupture est et demeure irréversible. Aucune place pour la pagaille institutionnalisée au cœur de la République et érigée en mode de gouvernance ! »
Il se montre également confiant quant à l’avenir du Sénégal sous l’égide des nouvelles figures de l’Exécutif : « Une nouvelle génération a gagné le cœur et la confiance du brave peuple souverain sénégalais. Cette génération va assurément viser le sommet de la bonne gouvernance et conduire le pays vers un développement dont les fruits seront équitablement partagés par les différentes composantes de notre société. » Fustigeant les « gesticulations » et « boycotts » parlementaires, Abdou Sané met en garde contre toute tentative de pression ou de chantage politique :
« Le chantage, la pression, la compromission et autres manœuvres ne sauraient prospérer. Le Sénégal, sous l'autorité du fin et clairvoyant président Diomaye Faye et sous l'engagement du brillant et charismatique Premier ministre Ousmane Sonko, ne saurait céder à une quelconque pression. »
Enfin, il conclut sur une note d’espoir, soulignant la volonté du nouveau régime de rompre avec les causes profondes de la pauvreté :
« La seule préoccupation des nouvelles autorités... est de prouver que la pauvreté et la misère ne sont pas une fatalité. Elles sont provoquées. Par conséquent, il est possible de sortir notre pays de la triste et sombre place de pays sous-développés, en actionnant la volonté politique et le battement ininterrompu de la fibre patriotique. »
Et d’ajouter : « Ainsi, les Sénégalais quitteront le statut de peuple écrasé, dominé, exploité et humilié, pour retrouver l'image rayonnante, respectable et digne d'un peuple debout, souverain, digne et prospère. »