Le Mauritanien Ahmed Yahya a annoncé sa candidature à la présidence de la Confédération africaine de football (CAF), le 9 novembre 2020. Il a répondu aux questions de RFI ce mardi 17 novembre.
« J’ai soigneusement évalué la situation actuelle de la CAF et j’ai décidé d’être candidat pour changer les choses. La CAF doit être respectée, elle doit avoir un personnel qualifié et une gestion transparente », dit-il dans l’émission Radio Foot Internationale. « Je suis candidat, c’est ma conviction, je peux apporter des jours meilleurs à la CAF », avance celui qui fait partie du Comité exécutif actuel de la CAF et qui l’assume.
Sans vouloir s’attarder sur le bilan de la présidence Ahmad, Yahya veut « faire grandir le foot » sur le continent africain et rêve même d’une équipe africaine en finale de la Coupe du monde. Il souhaite aussi développer le foot féminin et attend des clubs structurés. « Nous devons travailler pour trouver des nouvelles sources de revenus pour la CAF. Si je suis élu, je vais œuvrer pour accroître le soutien aux fédérations. Grâce à de nouvelle idées, j’ai multiplié par 20 les revenus de ma Fédération. Je ne promets pas de multiplier par 20 les revenus de la CAF ! Mais je vais faire en sorte de les augmenter sensiblement », avance-t-il.
Le soutien de l'Ouganda, du Mali et de Djibouti
« J’ai le soutien évidemment de ma Fédération mais aussi de l’Ouganda, du Mali et de Djibouti. D’autres fédérations m’ont déjà signifié leur soutien. La campagne ne fait que commencer », annonce Ahmed Yahya que l’on dit proche de la Fifa. « La Fifa ne doit pas soutenir un candidat. Infantino est venu inaugurer des projets financés par la Fifa en Mauritanie dans le cadre du Goal-Fifa. J’ai de bons rapports avec la Fifa, mais nous devons penser par nous-mêmes pour le bien du football africain. Je ne suis pas le plan B d’Ahmad ou le candidat de la Fifa », précise Ahmed Yahya.
Á propos d’une CAN tous les quatre ans fortement souhaitée par la Fifa, Ahmed Yahya veut d’abord concerter tout le continent avant de prendre une décision. « Il faut voir si cela vaut la peine de changer la fréquence de la CAN. Un changement ne peut être possible que s’il avantage le football africain ».
« J’ai soigneusement évalué la situation actuelle de la CAF et j’ai décidé d’être candidat pour changer les choses. La CAF doit être respectée, elle doit avoir un personnel qualifié et une gestion transparente », dit-il dans l’émission Radio Foot Internationale. « Je suis candidat, c’est ma conviction, je peux apporter des jours meilleurs à la CAF », avance celui qui fait partie du Comité exécutif actuel de la CAF et qui l’assume.
Sans vouloir s’attarder sur le bilan de la présidence Ahmad, Yahya veut « faire grandir le foot » sur le continent africain et rêve même d’une équipe africaine en finale de la Coupe du monde. Il souhaite aussi développer le foot féminin et attend des clubs structurés. « Nous devons travailler pour trouver des nouvelles sources de revenus pour la CAF. Si je suis élu, je vais œuvrer pour accroître le soutien aux fédérations. Grâce à de nouvelle idées, j’ai multiplié par 20 les revenus de ma Fédération. Je ne promets pas de multiplier par 20 les revenus de la CAF ! Mais je vais faire en sorte de les augmenter sensiblement », avance-t-il.
Le soutien de l'Ouganda, du Mali et de Djibouti
« J’ai le soutien évidemment de ma Fédération mais aussi de l’Ouganda, du Mali et de Djibouti. D’autres fédérations m’ont déjà signifié leur soutien. La campagne ne fait que commencer », annonce Ahmed Yahya que l’on dit proche de la Fifa. « La Fifa ne doit pas soutenir un candidat. Infantino est venu inaugurer des projets financés par la Fifa en Mauritanie dans le cadre du Goal-Fifa. J’ai de bons rapports avec la Fifa, mais nous devons penser par nous-mêmes pour le bien du football africain. Je ne suis pas le plan B d’Ahmad ou le candidat de la Fifa », précise Ahmed Yahya.
Á propos d’une CAN tous les quatre ans fortement souhaitée par la Fifa, Ahmed Yahya veut d’abord concerter tout le continent avant de prendre une décision. « Il faut voir si cela vaut la peine de changer la fréquence de la CAN. Un changement ne peut être possible que s’il avantage le football africain ».