"Vous voulez abroger la loi d'amnistie ? Eh bien abrogez-la. Mais soyez prêts à en assumer les conséquences. C'est là où le peuple vous attend." Telles sont les déclarations d'Aissata Tall Sall lors du deuxième tour de la Déclaration de Politique Générale (DPG) d'Ousmane Sonko.
Poursuivant son intervention, la présidente du groupe parlementaire Takku Wallou a affirmé : "Je n'ai pas peur. J'ai défendu cette loi en tant que ministre de la Justice. J’étais dans mon rôle", s'est justifiée l'ancienne garde des Sceaux. Elle a ajouté : "Je l'ai défendue parce que c'est ma conviction profonde qu'il fallait le faire."
Aissata Tall Sall a ensuite critiqué "les manquements du référentiel", qualifiant celui-ci de "simple slogan". "Ce n'est qu'un slogan, Monsieur le Premier ministre, et vous savez, les slogans, ce ne sont que des paroles qui finissent par s'envoler, comme l'ont toujours dit les anciens", a-t-elle lancé. Elle a insisté : "C'est pourquoi nous vous attendons, comme le maçon attend au pied du mur, sur les actes. Nous vous attendons sur la vérité." Puis, s'adressant directement à Ousmane Sonko, elle a ajouté : "Vous avez avoué ne pas être venu à l'Assemblée nationale pour éviter une motion de censure."
Le Premier ministre, prenant la parole, a fermement nié ces accusations. "Je n'ai jamais dit que je voulais échapper à une motion de censure. Aujourd'hui, je suis ici à l'Assemblée pour présenter la DPG. Et si hier j'avais été victime d'une motion de censure, je ne serais pas le premier au Sénégal", a rétorqué Ousmane Sonko. Concernant la loi d'amnistie, il a souligné : "Nous n'avons jamais hésité à assumer notre responsabilité. Ce n'est pas aujourd'hui que cela commencera. Mais, opposition comme pouvoir, laissons la justice faire son travail."
Poursuivant son intervention, la présidente du groupe parlementaire Takku Wallou a affirmé : "Je n'ai pas peur. J'ai défendu cette loi en tant que ministre de la Justice. J’étais dans mon rôle", s'est justifiée l'ancienne garde des Sceaux. Elle a ajouté : "Je l'ai défendue parce que c'est ma conviction profonde qu'il fallait le faire."
Aissata Tall Sall a ensuite critiqué "les manquements du référentiel", qualifiant celui-ci de "simple slogan". "Ce n'est qu'un slogan, Monsieur le Premier ministre, et vous savez, les slogans, ce ne sont que des paroles qui finissent par s'envoler, comme l'ont toujours dit les anciens", a-t-elle lancé. Elle a insisté : "C'est pourquoi nous vous attendons, comme le maçon attend au pied du mur, sur les actes. Nous vous attendons sur la vérité." Puis, s'adressant directement à Ousmane Sonko, elle a ajouté : "Vous avez avoué ne pas être venu à l'Assemblée nationale pour éviter une motion de censure."
Le Premier ministre, prenant la parole, a fermement nié ces accusations. "Je n'ai jamais dit que je voulais échapper à une motion de censure. Aujourd'hui, je suis ici à l'Assemblée pour présenter la DPG. Et si hier j'avais été victime d'une motion de censure, je ne serais pas le premier au Sénégal", a rétorqué Ousmane Sonko. Concernant la loi d'amnistie, il a souligné : "Nous n'avons jamais hésité à assumer notre responsabilité. Ce n'est pas aujourd'hui que cela commencera. Mais, opposition comme pouvoir, laissons la justice faire son travail."