Près d’un mois après le quart de finale perdu (5 Tab à 4, 0-0) face au Cameroun, futur vainqueur, le sélectionneur du Sénégal, Aliou Cissé, tire le bilan de la participation de son équipe à la Can-2017. Une occasion pour solder quelques comptes.
À propos de la prétendue équation tactique posée par son collègue du Cameroun, Hugo Broos, il minimise : «Il a essayé de jouer sa carte défensive, ceinturer le match et nous mener aux tirs au but parce que tout simplement sa chance était là-bas.»
À ceux qui le taxent de novice, il rappelle : «Je pense que j’ai eu à faire mes preuves avec les Olympiques. (…) Dans le groupe contre la Tunisie et contre l’Algérie, je suis désolé, ces deux entraîneurs-là (Kasperczak et Leekens), c’est 80 ans d’expérience, 40 ans d’expérience chacun.»
Le coach des Lions a profité du plateau de la Rts, pour avertir les Lions que «la star c’est l’équipe» et dénoncer la «ratatouille autour» d’Ismaïla Sarr, plus jeune joueur de la Can-2017 (19 ans le 25 février) et à qui d’aucuns taillent un costume de titulaire dans la Tanière.
Aliou Cissé n’a pas manqué de défendre Mame Biram : «Il a fait un énorme travail. Et en un moment donné, il était bien placé. (S’il) ne marque pas, ce n’est pas seulement de sa faute, mais la faute de tous les gens qui sont autour de lui, qui doivent travailler pour qu’il marque un but.»
À propos de la prétendue équation tactique posée par son collègue du Cameroun, Hugo Broos, il minimise : «Il a essayé de jouer sa carte défensive, ceinturer le match et nous mener aux tirs au but parce que tout simplement sa chance était là-bas.»
À ceux qui le taxent de novice, il rappelle : «Je pense que j’ai eu à faire mes preuves avec les Olympiques. (…) Dans le groupe contre la Tunisie et contre l’Algérie, je suis désolé, ces deux entraîneurs-là (Kasperczak et Leekens), c’est 80 ans d’expérience, 40 ans d’expérience chacun.»
Le coach des Lions a profité du plateau de la Rts, pour avertir les Lions que «la star c’est l’équipe» et dénoncer la «ratatouille autour» d’Ismaïla Sarr, plus jeune joueur de la Can-2017 (19 ans le 25 février) et à qui d’aucuns taillent un costume de titulaire dans la Tanière.
Aliou Cissé n’a pas manqué de défendre Mame Biram : «Il a fait un énorme travail. Et en un moment donné, il était bien placé. (S’il) ne marque pas, ce n’est pas seulement de sa faute, mais la faute de tous les gens qui sont autour de lui, qui doivent travailler pour qu’il marque un but.»