Même si le coordonnateur national Omar Coulibaly a avoué les difficultés que rencontre l’association dans la recherche de financement des activités sociales inscrites dans leur agenda. Il n’en demeure pas moins que les membres et d’autres bonnes volontés établies pour la plupart dans la diaspora se cotisent pour prendre en charge les dépenses inhérentes à la mise en œuvre des actions de solidarité en direction des couches vulnérables.
En effet, depuis leur existence, « les Rois et Reines » ont marqué d’une empreinte indélébile les conditions de vie des orphelinats et daaras en ce sens qu’ils ont déjà remis en quantité suffisante des équipements, des denrées de premières nécessité, des enveloppes et des produits détergents pour contribuer à l’épanouissement de l’enseignement coranique et de l’enfance déshéritée. En outre, dans le cadre du renforcement des capacités, l’ARRAS a inscrit dans son calendrier annuel la formation des femmes dans les métiers de la teinture, de la savonnerie et de la pâtisserie en vue de diversifier les compétences et leur faciliter l’accès au crédit.
Dans le court et moyen terme, le coordonnateur a levé un coin du voile sur le programme 2019 des « Rois et Reines », avec le Ramadan qui pointe à l’horizon. L’association compte mettre à profit ce mois béni pour distribuer le Ndogou aux nécessiteux et autres retardataires de la coupure du jeûne. Pour l’heure, aucune institution de la République ou quelque autorité ne vient en aide à l’ARRAS qui, rappelons-le, s’est fixée une mission hautement sociale avec plus d’impact que les Bourses de sécurité familiale.
Toutefois, le Roi Omar Coulibaly dit compter sur l’engagement sans faille des adhérents qui mettent la pain à la poche à chaque fois que de besoin. N’empêche dit-il « nous allons très bientôt rencontrer les autorités du pays et les mécènes pour un accompagnement plus soutenu, dans l’intérêt des populations ».
En effet, depuis leur existence, « les Rois et Reines » ont marqué d’une empreinte indélébile les conditions de vie des orphelinats et daaras en ce sens qu’ils ont déjà remis en quantité suffisante des équipements, des denrées de premières nécessité, des enveloppes et des produits détergents pour contribuer à l’épanouissement de l’enseignement coranique et de l’enfance déshéritée. En outre, dans le cadre du renforcement des capacités, l’ARRAS a inscrit dans son calendrier annuel la formation des femmes dans les métiers de la teinture, de la savonnerie et de la pâtisserie en vue de diversifier les compétences et leur faciliter l’accès au crédit.
Dans le court et moyen terme, le coordonnateur a levé un coin du voile sur le programme 2019 des « Rois et Reines », avec le Ramadan qui pointe à l’horizon. L’association compte mettre à profit ce mois béni pour distribuer le Ndogou aux nécessiteux et autres retardataires de la coupure du jeûne. Pour l’heure, aucune institution de la République ou quelque autorité ne vient en aide à l’ARRAS qui, rappelons-le, s’est fixée une mission hautement sociale avec plus d’impact que les Bourses de sécurité familiale.
Toutefois, le Roi Omar Coulibaly dit compter sur l’engagement sans faille des adhérents qui mettent la pain à la poche à chaque fois que de besoin. N’empêche dit-il « nous allons très bientôt rencontrer les autorités du pays et les mécènes pour un accompagnement plus soutenu, dans l’intérêt des populations ».