Cheikh Bara Dolly Mbacké a vivement réagi à la publication du récent rapport de la Cour des comptes, document explosif qui met en lumière de nombreuses irrégularités constatées durant le magistère du régime de l'APR dirigé par le Président Macky Sall. Pour le député, ce rapport vient confirmer les nombreuses dénonciations portées par son camp, notamment à travers leur ouvrage intitulé Le Livre Rouge, consacré aux abus de l’ancien régime.
« Il n'y a pas de doute, tout ce qui est dit dans ce rapport est vrai », a-t-il déclaré sans ambages, saluant au passage le « travail rigoureux et autonome » mené par la Cour des comptes. À ses yeux, les révélations de ce document valident les contrôles entamés par les nouvelles autorités et jettent une lumière crue sur les dérives passées.
Cheikh Bara Dolly a aussi exprimé son regret quant à l’absence de débat parlementaire sur ce rapport en 2023, malgré ses nombreuses relances pour qu’il soit inscrit à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale.
Le parlementaire n’a pas manqué d’égratigner certains membres de l’ancienne majorité, citant nommément Aïssata Tall Sall, Abdou Mbow et d’autres cadres de l’Alliance pour la République (APR). « On ne peut pas voler l'argent du peuple et ensuite se comporter comme si tout était parfait », a-t-il lancé, fustigeant leurs tentatives de discréditer les institutions de contrôle.
Selon lui, ces anciens dignitaires n'ont pas la légitimité morale pour contester un rapport « accablant » qu’ils préfèreraient voir enterré. Il invite par ailleurs l’État à faire preuve de plus de transparence dans la communication autour de ces affaires, tout en appelant les responsables de l’ancien régime à adopter une posture de retenue : « Ils sont obligés de garder le secret ! », martèle-t-il.
« Il n'y a pas de doute, tout ce qui est dit dans ce rapport est vrai », a-t-il déclaré sans ambages, saluant au passage le « travail rigoureux et autonome » mené par la Cour des comptes. À ses yeux, les révélations de ce document valident les contrôles entamés par les nouvelles autorités et jettent une lumière crue sur les dérives passées.
Cheikh Bara Dolly a aussi exprimé son regret quant à l’absence de débat parlementaire sur ce rapport en 2023, malgré ses nombreuses relances pour qu’il soit inscrit à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale.
Le parlementaire n’a pas manqué d’égratigner certains membres de l’ancienne majorité, citant nommément Aïssata Tall Sall, Abdou Mbow et d’autres cadres de l’Alliance pour la République (APR). « On ne peut pas voler l'argent du peuple et ensuite se comporter comme si tout était parfait », a-t-il lancé, fustigeant leurs tentatives de discréditer les institutions de contrôle.
Selon lui, ces anciens dignitaires n'ont pas la légitimité morale pour contester un rapport « accablant » qu’ils préfèreraient voir enterré. Il invite par ailleurs l’État à faire preuve de plus de transparence dans la communication autour de ces affaires, tout en appelant les responsables de l’ancien régime à adopter une posture de retenue : « Ils sont obligés de garder le secret ! », martèle-t-il.