Le secrétaire d'État américain Antony Blinken a affirmé dimanche que "toutes les indications" montrent que la roquette tombée sur le plateau du Golan a été tirée par le Hezbollah libanais.
"Rien ne justifie le terrorisme, et toutes les indications montrent que les roquettes provenaient du Hezbollah ou que la roquette provenait du Hezbollah", a déclaré M. Blinken lors d'une conférence de presse à Tokyo.
Selon Israël, un tir de roquette depuis le Liban sur un terrain de football dans la ville de Majdal Shams a causé samedi la mort de 12 jeunes âgés de 10 à 16 ans et blessé environ 30 autres personnes.
Le ministère israélien des Affaires étrangères a estimé que le mouvement islamiste libanais soutenu par l'Iran, qui nie être l'auteur de l'attaque meurtrière, avait "franchi toutes les lignes rouges" en tirant "délibérément sur des civils".
"Nous soutenons le droit d'Israël à défendre ses citoyens contre les attaques terroristes", a affirmé le chef de la diplomatie américaine, actuellement au Japon.
"Nous sommes déterminés à mettre un terme au conflit de Gaza. Il dure depuis bien trop longtemps. Il a coûté beaucoup trop de vies", a-t-il ajouté, précisant être en "pourparlers avec le gouvernement israélien".
"Une fois encore, j'insiste sur son droit à défendre ses citoyens et sur notre détermination à faire en sorte qu'il puisse le faire."
"Mais nous ne voulons pas non plus que le conflit s'aggrave. Nous ne voulons pas qu'il s'étende. C'est l'un de nos objectifs depuis le premier jour, depuis le 7 octobre, et nous continuerons à le faire", a-t-il souligné.
Selon lui, le "meilleur moyen d'y parvenir durablement est d'obtenir le cessez-le-feu à Gaza sur lequel nous travaillons si dur pratiquement à chaque minute de la journée".
"Rien ne justifie le terrorisme, et toutes les indications montrent que les roquettes provenaient du Hezbollah ou que la roquette provenait du Hezbollah", a déclaré M. Blinken lors d'une conférence de presse à Tokyo.
Selon Israël, un tir de roquette depuis le Liban sur un terrain de football dans la ville de Majdal Shams a causé samedi la mort de 12 jeunes âgés de 10 à 16 ans et blessé environ 30 autres personnes.
Le ministère israélien des Affaires étrangères a estimé que le mouvement islamiste libanais soutenu par l'Iran, qui nie être l'auteur de l'attaque meurtrière, avait "franchi toutes les lignes rouges" en tirant "délibérément sur des civils".
"Nous soutenons le droit d'Israël à défendre ses citoyens contre les attaques terroristes", a affirmé le chef de la diplomatie américaine, actuellement au Japon.
"Nous sommes déterminés à mettre un terme au conflit de Gaza. Il dure depuis bien trop longtemps. Il a coûté beaucoup trop de vies", a-t-il ajouté, précisant être en "pourparlers avec le gouvernement israélien".
"Une fois encore, j'insiste sur son droit à défendre ses citoyens et sur notre détermination à faire en sorte qu'il puisse le faire."
"Mais nous ne voulons pas non plus que le conflit s'aggrave. Nous ne voulons pas qu'il s'étende. C'est l'un de nos objectifs depuis le premier jour, depuis le 7 octobre, et nous continuerons à le faire", a-t-il souligné.
Selon lui, le "meilleur moyen d'y parvenir durablement est d'obtenir le cessez-le-feu à Gaza sur lequel nous travaillons si dur pratiquement à chaque minute de la journée".