L’administration Trump a instauré une nouvelle politique interdisant l’affichage de drapeaux autres que celui des États-Unis dans toutes les ambassades américaines.
Cette décision marque une rupture avec les pratiques de l’administration Biden, qui avait autorisé l’exposition de drapeaux symbolisant des causes telles que la fierté LGBTQ+ et le mouvement Black Lives Matter.
Un câble diplomatique, intitulé « One Flag Policy » et consulté par The Guardian, détaille cette directive. Il stipule : « Seul le drapeau des États-Unis est autorisé à être déployé dans toutes les installations américaines, tant au pays qu’à l’étranger. » L’objectif affiché est de limiter les initiatives liées à la diversité au sein des institutions gouvernementales.
Le texte souligne également que le drapeau américain est présenté comme un symbole d’unité nationale autour des valeurs de justice, de liberté et de démocratie. Les seules exceptions à cette règle concernent le drapeau des prisonniers de guerre et celui des otages.
Cette décision s’inscrit dans une série de mesures prises par Donald Trump dès le début de sa présidence. Parmi elles, la suppression des programmes de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI), ainsi que la reconnaissance stricte de deux catégories de sexe, en opposition aux droits des personnes non binaires.
En limitant les symboles visibles dans les ambassades, cette politique reflète l’orientation de l’administration Trump visant à renforcer les symboles fédérateurs tout en réduisant la visibilité des initiatives de diversité. Une mesure qui suscite des débats sur sa portée et ses implications dans les institutions américaines et à l’international.
Cette décision marque une rupture avec les pratiques de l’administration Biden, qui avait autorisé l’exposition de drapeaux symbolisant des causes telles que la fierté LGBTQ+ et le mouvement Black Lives Matter.
Un câble diplomatique, intitulé « One Flag Policy » et consulté par The Guardian, détaille cette directive. Il stipule : « Seul le drapeau des États-Unis est autorisé à être déployé dans toutes les installations américaines, tant au pays qu’à l’étranger. » L’objectif affiché est de limiter les initiatives liées à la diversité au sein des institutions gouvernementales.
Le texte souligne également que le drapeau américain est présenté comme un symbole d’unité nationale autour des valeurs de justice, de liberté et de démocratie. Les seules exceptions à cette règle concernent le drapeau des prisonniers de guerre et celui des otages.
Cette décision s’inscrit dans une série de mesures prises par Donald Trump dès le début de sa présidence. Parmi elles, la suppression des programmes de diversité, d’équité et d’inclusion (DEI), ainsi que la reconnaissance stricte de deux catégories de sexe, en opposition aux droits des personnes non binaires.
En limitant les symboles visibles dans les ambassades, cette politique reflète l’orientation de l’administration Trump visant à renforcer les symboles fédérateurs tout en réduisant la visibilité des initiatives de diversité. Une mesure qui suscite des débats sur sa portée et ses implications dans les institutions américaines et à l’international.