L’ancien patron du Commandement des opérations du théâtre national a été enlevé le 13 juillet à son domicile de Ouagadougou par des hommes armés et cagoulés.
Le nom du lieutenant-colonel Yves Didier Bamouni rejoint la longue liste de personnalités, civiles ou militaires, enlevées à leur domicile. Ce haut gradé de l’armée burkinabè est porté disparu depuis le 13 juillet. Il a été enlevé par des hommes armés et cagoulés dans un logement appartenant à l’armée situé dans le centre-ville de Ouagadougou.
D’après les informations de RFI, il avait été envoyé au Niger dans le cadre des accords de défense entre les pays sahéliens putschistes. C’est récemment qu’il est rentré à Ouagadougou pour préparer un stage en Italie, en vue de l’obtention du grade de colonel. Selon des témoins, les deux officiers ont été embarqués par des hommes encagoulés.
Le haut gradé est très connu des troupes burkinabè. Sous la présidence de Roch Marc Christian Kaboré, il commandait l'Académie militaire Georges Namoano de formation des officiers de Pô, avant d’être placé au Commandement des opérations du théâtre national dans la lutte anti-jihadiste durant la transition du lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba.
Le nom du lieutenant-colonel Yves Didier Bamouni rejoint la longue liste de personnalités, civiles ou militaires, enlevées à leur domicile. Ce haut gradé de l’armée burkinabè est porté disparu depuis le 13 juillet. Il a été enlevé par des hommes armés et cagoulés dans un logement appartenant à l’armée situé dans le centre-ville de Ouagadougou.
D’après les informations de RFI, il avait été envoyé au Niger dans le cadre des accords de défense entre les pays sahéliens putschistes. C’est récemment qu’il est rentré à Ouagadougou pour préparer un stage en Italie, en vue de l’obtention du grade de colonel. Selon des témoins, les deux officiers ont été embarqués par des hommes encagoulés.
Le haut gradé est très connu des troupes burkinabè. Sous la présidence de Roch Marc Christian Kaboré, il commandait l'Académie militaire Georges Namoano de formation des officiers de Pô, avant d’être placé au Commandement des opérations du théâtre national dans la lutte anti-jihadiste durant la transition du lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba.