Les pays membres du G7 ont annoncé, ce mardi, leur intention de respecter leurs obligations « respectives » concernant le mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) contre le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu.
Dans un communiqué publié à l’issue d’une réunion près de Rome, les chefs de la diplomatie du groupe ont affirmé : « Nous réitérons notre engagement envers le droit international humanitaire et respecterons nos obligations respectives. »
Cependant, une divergence notable persiste au sein du groupe. Si la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni, le Japon, l’Italie et le Canada soutiennent la CPI, les États-Unis, eux, ne reconnaissent pas la juridiction de la Cour.
Dans un communiqué publié à l’issue d’une réunion près de Rome, les chefs de la diplomatie du groupe ont affirmé : « Nous réitérons notre engagement envers le droit international humanitaire et respecterons nos obligations respectives. »
Cependant, une divergence notable persiste au sein du groupe. Si la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni, le Japon, l’Italie et le Canada soutiennent la CPI, les États-Unis, eux, ne reconnaissent pas la juridiction de la Cour.