Chaque année ans, l'équivalent de 8000 vaches atterriraient en petits morceaux dans des barquettes de supermarchés, en dépit de leur contrôle positif à la tuberculose. Une situation alarmante, mais légale.
Selon Le Canard Enchaîné, qui révèle cette information dans son édition de ce mercredi, cette pratique est connue et autorisée par les autorités sanitaires, qui arguent que le risque de contamination à l'homme n'existe pas si l'animal mangé est débarrassé de ses organes infectés. C'est aussi ce qu'indique un règlement européen datant de 2004.
En France, le procédé est toujours le même: lorsqu'un animal est dépisté positif à la maladie, souvent issu d'une race à viande, il est envoyé à l'abattoir. Cette viande peut ensuite être rachetée par un groupe agroalimentaire, si le vétérinaire qui examine la carcasse estime qu'elle peut, une fois dépourvue du foie et des reins, être mangée.
Selon Le Canard Enchaîné, qui révèle cette information dans son édition de ce mercredi, cette pratique est connue et autorisée par les autorités sanitaires, qui arguent que le risque de contamination à l'homme n'existe pas si l'animal mangé est débarrassé de ses organes infectés. C'est aussi ce qu'indique un règlement européen datant de 2004.
En France, le procédé est toujours le même: lorsqu'un animal est dépisté positif à la maladie, souvent issu d'une race à viande, il est envoyé à l'abattoir. Cette viande peut ensuite être rachetée par un groupe agroalimentaire, si le vétérinaire qui examine la carcasse estime qu'elle peut, une fois dépourvue du foie et des reins, être mangée.