Mame Fama Gaye, originaire de la région de Fatick, a été élue Miss Sénégal 2024. Âgée de 24 ans, Fatou Bintou Guèye, 22 ans, Miss Louga, a été couronnée première dauphine, tandis que Maïrame Ly, 23 ans, représentante de Dakar, complète le podium en tant que deuxième dauphine. Cependant, la participation de très jeunes filles, parfois âgées de moins de 19ans, dans certains concours de beauté au Sénégal suivis par exclusif.net soulève des questions cruciales.
Ces concours, qui mettent en avant la beauté et le charisme, devraient également tenir compte de la maturité et de la préparation mentale des candidates. De nombreuses voix s’élèvent pour dénoncer les conséquences néfastes que ces compétitions peuvent engendrer, notamment des pressions sociales, des dérives psychologiques et parfois des exploitations sous-jacentes.
Il devient urgent pour le gouvernement de réguler ces événements en imposant un âge minimum plus élevé, afin de protéger les jeunes filles vulnérables. Certains plaident pour réserver ces concours aux femmes ayant atteint au moins 30 ans, un âge où elles sont généralement plus aptes à gérer les responsabilités et les pressions qui accompagnent une telle distinction.
À titre de comparaison, en France, Angélique a marqué l’histoire en 2024 en devenant la première Miss France trentenaire à 34 ans. Elle se félicite de son parcours atypique, déclarant avec fierté : "J’ai pris le train à la bonne gare ! Mes efforts ont fini par payer." Son succès prouve qu’il est possible d’allier maturité et réussite dans les concours de beauté.
L’exemple d’Angélique (voir photo en bas )pourrait inspirer le Sénégal à revoir les critères d’éligibilité pour ses concours de beauté, en mettant l’accent sur la maturité, l’expérience de vie et l’engagement des candidates, afin de valoriser pleinement le rôle de Miss Sénégal comme une ambassadrice culturelle et sociale.
Ces concours, qui mettent en avant la beauté et le charisme, devraient également tenir compte de la maturité et de la préparation mentale des candidates. De nombreuses voix s’élèvent pour dénoncer les conséquences néfastes que ces compétitions peuvent engendrer, notamment des pressions sociales, des dérives psychologiques et parfois des exploitations sous-jacentes.
Il devient urgent pour le gouvernement de réguler ces événements en imposant un âge minimum plus élevé, afin de protéger les jeunes filles vulnérables. Certains plaident pour réserver ces concours aux femmes ayant atteint au moins 30 ans, un âge où elles sont généralement plus aptes à gérer les responsabilités et les pressions qui accompagnent une telle distinction.
À titre de comparaison, en France, Angélique a marqué l’histoire en 2024 en devenant la première Miss France trentenaire à 34 ans. Elle se félicite de son parcours atypique, déclarant avec fierté : "J’ai pris le train à la bonne gare ! Mes efforts ont fini par payer." Son succès prouve qu’il est possible d’allier maturité et réussite dans les concours de beauté.
L’exemple d’Angélique (voir photo en bas )pourrait inspirer le Sénégal à revoir les critères d’éligibilité pour ses concours de beauté, en mettant l’accent sur la maturité, l’expérience de vie et l’engagement des candidates, afin de valoriser pleinement le rôle de Miss Sénégal comme une ambassadrice culturelle et sociale.