Une rocambolesque histoire de mœurs suscite l'indignation à Grand-Dakar. Une étudiante a été mise enceinte par son petit ami. Ne pouvant plus supporter cette honte, S. D., 23 ans, s'est fait avorter. Elle a été démasquée, alors qu'elle tentait de jeter le fœtus dans un bac à ordures.
C'est vers 18 h que le gestionnaire dudit bac a suspecté la jeune dame qui détenait un sachet dans lequel se trouvait le fœtus. Après vérification, S. D. a été interpellée et interrogée. Elle a fini par avouer son forfait, selon des sources de Seneweb.
Informés, les éléments du commissariat de Grand-Dakar se sont transportés aussitôt sur les lieux indiqués. Mais l'avortement clandestin ayant mal tourné, la mise en cause a continué de saigner. L'étudiante incriminée a alors été évacuée à l'hôpital.
Les aveux de l'étudiante
Face aux enquêteurs de la police de Grand-Dakar, S. D. a avoué être tombée enceinte des œuvres de son petit ami, un militaire en formation. Mais ce dernier n'était pas au courant de sa grossesse d'après la fille qui dit avoir pris seule la responsabilité de se débarrasser du fœtus. "J'ai contacté un ami basé au Maroc, qui m'a mis en rapport avec un médecin domicilié aux Parcelles-Assainies. Ce dernier m'a aidé à interrompre ma grossesse", confesse l'étudiante aux policiers.
Un cabinet médical clandestin démantelé, un faux médecin arrêté aux Parcelles-Assainies
Les hommes du commissaire Adama Wellé ont effectué une descente inopinée à l'Unité 18 des Parcelles-Assainies où ils ont surpris le faux médecin dans son domicile. C. L. D. avait transformé sa chambre en cabinet médical où il recevait ses patients. La perquisition a permis aux policiers de Grand-Dakar de saisir du matériel médical et un bloc servant à mentionner les rendez-vous médicaux.
Il ressort de l'enquête que C. L. D. n'avait aucun diplôme de médecine. Interrogé sur procès-verbal, le faux médecin a avoué seulement avoir prescrit des médicaments à l'étudiante pour atténuer ses douleurs.
Au terme de l'enquête, la jeune dame et le faux médecin ont été déférés au parquet ce mardi. Ils sont poursuivis respectivement pour interruption volontaire de grossesse, exercice illégal de la médecine et complicité d'interruption volontaire de grossesse.
seneweb
C'est vers 18 h que le gestionnaire dudit bac a suspecté la jeune dame qui détenait un sachet dans lequel se trouvait le fœtus. Après vérification, S. D. a été interpellée et interrogée. Elle a fini par avouer son forfait, selon des sources de Seneweb.
Informés, les éléments du commissariat de Grand-Dakar se sont transportés aussitôt sur les lieux indiqués. Mais l'avortement clandestin ayant mal tourné, la mise en cause a continué de saigner. L'étudiante incriminée a alors été évacuée à l'hôpital.
Les aveux de l'étudiante
Face aux enquêteurs de la police de Grand-Dakar, S. D. a avoué être tombée enceinte des œuvres de son petit ami, un militaire en formation. Mais ce dernier n'était pas au courant de sa grossesse d'après la fille qui dit avoir pris seule la responsabilité de se débarrasser du fœtus. "J'ai contacté un ami basé au Maroc, qui m'a mis en rapport avec un médecin domicilié aux Parcelles-Assainies. Ce dernier m'a aidé à interrompre ma grossesse", confesse l'étudiante aux policiers.
Un cabinet médical clandestin démantelé, un faux médecin arrêté aux Parcelles-Assainies
Les hommes du commissaire Adama Wellé ont effectué une descente inopinée à l'Unité 18 des Parcelles-Assainies où ils ont surpris le faux médecin dans son domicile. C. L. D. avait transformé sa chambre en cabinet médical où il recevait ses patients. La perquisition a permis aux policiers de Grand-Dakar de saisir du matériel médical et un bloc servant à mentionner les rendez-vous médicaux.
Il ressort de l'enquête que C. L. D. n'avait aucun diplôme de médecine. Interrogé sur procès-verbal, le faux médecin a avoué seulement avoir prescrit des médicaments à l'étudiante pour atténuer ses douleurs.
Au terme de l'enquête, la jeune dame et le faux médecin ont été déférés au parquet ce mardi. Ils sont poursuivis respectivement pour interruption volontaire de grossesse, exercice illégal de la médecine et complicité d'interruption volontaire de grossesse.
seneweb