Depuis la cérémonie de distinction des meilleurs élèves du Sénégal au Grand Théâtre, le débat sur la prise en charge des Daaras et le port du voile dans les établissements scolaires continue d'alimenter les discussions. Lors de cet événement, Ousmane Sonko, récemment interrogé par une lauréate sur la question des Daaras, a également abordé le sujet du port du voile, provoquant une vive polémique.
Le Premier ministre Ousmane Sonko a affirmé que « l’État n’acceptera plus que les filles qui portent le voile soient récusées dans certaines écoles au Sénégal. Nous sommes dans un pays de tolérance. » Cette déclaration a suscité des réactions variées, notamment parmi les leaders religieux.
Oustaz Alioune Sall, un prêcheur influent et animateur d’une des émissions religieuses les plus suivies sur Sud Fm, a réagi à ces propos. Selon lui, « c’est irrationnel de vouloir inscrire son enfant dans un établissement d’où l’islam n’est pas en règle et imposer le port du voile qui en est interdit. Les établissements qui interdisent le port du voile sont dans leur plein droit parce que c’est le règlement intérieur qui l’impose. » Le prêcheur insiste sur l’importance de créer des écoles où les enfants peuvent apprendre la religion dans un environnement qui leur est propre.
Il ajoute que « le plus important est de s’investir pour avoir de grandes écoles d’où nos enfants peuvent apprendre la religion. Des écoles qui nous appartiennent. Car, on ne demandera jamais à un parent pourquoi son enfant n’a pas fréquenté tel établissement mais plutôt pourquoi elle n’a pas porté le voile. En tout état de cause, tout établissement a un règlement intérieur. »
Cette polémique démontre la tension entre le respect des traditions religieuses et les règlements intérieurs des établissements scolaires au Sénégal. Alors que certains plaident pour la tolérance et l’inclusion, d'autres rappellent la nécessité de respecter les règles établies par les institutions éducatives.
Le débat continue donc de diviser l'opinion publique, avec des implications potentielles pour les politiques éducatives et religieuses du pays.
Le Premier ministre Ousmane Sonko a affirmé que « l’État n’acceptera plus que les filles qui portent le voile soient récusées dans certaines écoles au Sénégal. Nous sommes dans un pays de tolérance. » Cette déclaration a suscité des réactions variées, notamment parmi les leaders religieux.
Oustaz Alioune Sall, un prêcheur influent et animateur d’une des émissions religieuses les plus suivies sur Sud Fm, a réagi à ces propos. Selon lui, « c’est irrationnel de vouloir inscrire son enfant dans un établissement d’où l’islam n’est pas en règle et imposer le port du voile qui en est interdit. Les établissements qui interdisent le port du voile sont dans leur plein droit parce que c’est le règlement intérieur qui l’impose. » Le prêcheur insiste sur l’importance de créer des écoles où les enfants peuvent apprendre la religion dans un environnement qui leur est propre.
Il ajoute que « le plus important est de s’investir pour avoir de grandes écoles d’où nos enfants peuvent apprendre la religion. Des écoles qui nous appartiennent. Car, on ne demandera jamais à un parent pourquoi son enfant n’a pas fréquenté tel établissement mais plutôt pourquoi elle n’a pas porté le voile. En tout état de cause, tout établissement a un règlement intérieur. »
Cette polémique démontre la tension entre le respect des traditions religieuses et les règlements intérieurs des établissements scolaires au Sénégal. Alors que certains plaident pour la tolérance et l’inclusion, d'autres rappellent la nécessité de respecter les règles établies par les institutions éducatives.
Le débat continue donc de diviser l'opinion publique, avec des implications potentielles pour les politiques éducatives et religieuses du pays.