Un important réseau de trafic de drogue à Ziguinchor a récemment été démantelé par les hommes du commissaire Malick Dieng. Selon Libération, trois trafiquants présumés, opérant dans la commune et ses environs, ont été arrêtés à la suite d’une enquête minutieuse menée par la police. Cette opération met en lumière l’ampleur d’un commerce illégal de comprimés d’Ecstasy, également appelés « Volet », qui mine la région.
D'après les informations de Libération, l’enquête menée par la section de recherche du commissariat urbain de Ziguinchor avait commencé il y a plusieurs mois. C'est dans le quartier de Goumel, en périphérie de la commune, que les enquêteurs ont obtenu un renseignement clé concernant ce réseau de trafiquants. Ils ont alors orienté leurs soupçons vers Omar Ba, un conducteur de moto-taxi "Jakarta" résidant à Peyrissac, identifié comme étant le livreur de la drogue.
La ruse policière qui a piégé le livreur
Pour confirmer ces informations, la police a organisé une opération de surveillance et de filature. Comme le rapporte Libération, un "éclaireur" a été envoyé pour passer une commande auprès d'Omar Ba. Ce dernier, sans se douter du stratagème, a accepté de livrer deux comprimés d’Ecstasy. Cependant, au moment de la transaction, il a été surpris par l’intervention des policiers, qui l’ont arrêté sur-le-champ.
Une fois en garde à vue, Omar Ba n'a pas tardé à dénoncer ses complices. Sous pression, il a révélé les noms d’Ibrahima Dabo, alias « Solo », agent de recouvrement au Crédit Mutuel du Sénégal (CMS) et résident à Boucotte Nord, ainsi que d’El Hadj Barka Touré, un étudiant domicilié à Ziguinchor. Ces derniers ont été interpellés à leur tour.
Une menace croissante à Ziguinchor
L’arrestation de ces trois individus met en lumière l’émergence d’un trafic organisé d’Ecstasy dans une ville où les autorités redoublent d’efforts pour lutter contre la drogue. Ce type de produit, très prisé par la jeunesse, représente une menace grandissante pour la santé publique et la sécurité locale.
Après leur audition, les trois trafiquants présumés ont été déférés devant le procureur. Selon Libération, les enquêteurs poursuivent leurs investigations pour remonter la chaîne de distribution et identifier d'éventuels complices toujours en fuite.
Une victoire pour la police, mais le combat continue
L'intervention réussie des forces de l'ordre à Ziguinchor témoigne de la détermination des autorités à enrayer le trafic de drogue dans la région. Cependant, comme le souligne Libération, cette affaire ne représente probablement que la partie visible de l'iceberg. La vigilance demeure cruciale pour éviter que ce commerce illégal ne s'enracine davantage.
Avec cette opération, la police envoie un message fort aux trafiquants : Ziguinchor ne sera pas un terrain favorable au crime organisé.
D'après les informations de Libération, l’enquête menée par la section de recherche du commissariat urbain de Ziguinchor avait commencé il y a plusieurs mois. C'est dans le quartier de Goumel, en périphérie de la commune, que les enquêteurs ont obtenu un renseignement clé concernant ce réseau de trafiquants. Ils ont alors orienté leurs soupçons vers Omar Ba, un conducteur de moto-taxi "Jakarta" résidant à Peyrissac, identifié comme étant le livreur de la drogue.
La ruse policière qui a piégé le livreur
Pour confirmer ces informations, la police a organisé une opération de surveillance et de filature. Comme le rapporte Libération, un "éclaireur" a été envoyé pour passer une commande auprès d'Omar Ba. Ce dernier, sans se douter du stratagème, a accepté de livrer deux comprimés d’Ecstasy. Cependant, au moment de la transaction, il a été surpris par l’intervention des policiers, qui l’ont arrêté sur-le-champ.
Une fois en garde à vue, Omar Ba n'a pas tardé à dénoncer ses complices. Sous pression, il a révélé les noms d’Ibrahima Dabo, alias « Solo », agent de recouvrement au Crédit Mutuel du Sénégal (CMS) et résident à Boucotte Nord, ainsi que d’El Hadj Barka Touré, un étudiant domicilié à Ziguinchor. Ces derniers ont été interpellés à leur tour.
Une menace croissante à Ziguinchor
L’arrestation de ces trois individus met en lumière l’émergence d’un trafic organisé d’Ecstasy dans une ville où les autorités redoublent d’efforts pour lutter contre la drogue. Ce type de produit, très prisé par la jeunesse, représente une menace grandissante pour la santé publique et la sécurité locale.
Après leur audition, les trois trafiquants présumés ont été déférés devant le procureur. Selon Libération, les enquêteurs poursuivent leurs investigations pour remonter la chaîne de distribution et identifier d'éventuels complices toujours en fuite.
Une victoire pour la police, mais le combat continue
L'intervention réussie des forces de l'ordre à Ziguinchor témoigne de la détermination des autorités à enrayer le trafic de drogue dans la région. Cependant, comme le souligne Libération, cette affaire ne représente probablement que la partie visible de l'iceberg. La vigilance demeure cruciale pour éviter que ce commerce illégal ne s'enracine davantage.
Avec cette opération, la police envoie un message fort aux trafiquants : Ziguinchor ne sera pas un terrain favorable au crime organisé.