L’ancien député, Sékou Sambou, devenu le patron du comité de pilotage du Projet pôle de développement de la Casamance (PPDC), encourage l’actuel régime à poursuivre la traque des biens mal acquis.
Hier Karim Wade et Cie étaient à la barre dans le cadre de la traque des biens mal acquis dont certains appellent à leur libération. Pour le président Sékou Sambou, conseiller du président de la république, « si la traque est interrompue, les générations futures risquent d’être mises à l’autel du sacrifice. Elle penseraient que le seul moyen de s’enrichir est le détournement des fonds publics, alors qu’il nous appartient de leur inculquer les vertus du travail bien fait », a-t-il souligné. Depuis de deux ans, ce responsable de la première heure de l’APR dans le département d’Oussouye ne s’est pas privé de donner quelques leçons de morale à l’opposition, qui avait accusé le président de la république de faire la promotion de l’homosexualité. « Pour rien au monde, l’opposition ne devrait pas franchir le cap en proférant des insanités à l’endroit du Chef de l’Etat », a-t-il dénoncé. Dans son fief, Sékou Sambou a presque rayé de la carte électorale l’opposition mais il lie l’hégémonie de l’Apr dans sa localité aux réalisations faites par son mentor, Macky Sall. « Lors du référendum, j’aurai aimé engranger un résultat positif à plus de 80 % au regard de ce que le président de la république a réalisé en Casamance. En effet, cette région était comme oublié du Sénégal, mais grâce au président Macky Sall qui a mis en place le pôle de développement économique, on devrait lui permettre de récolter un score mémorable », a précisé Sékou Sambou.
Depuis plus de deux ans, à la tête du programme de développement de la Casamance, le président Sekou Sambou salue l’importance de la mise en place de ce projet dont son budget est évalué à 23 milliards de nos francs. « Les femmes ont vu leur productions agricoles multipliées par 4, les hommes de même, les revenus de façon générale, sont aujourd’hui à une hausse considérable, sans compter les routes réalisées qui participent au désenclavement de la région. Quid d’une ambulance pour la première fois dans la zone du Blouff, dans le Bignona, ceci avait créé une immense bonheur chez les population, sans compter les bateaux » a-t-il conclu.
Ibrahima Khalil DIEME
Hier Karim Wade et Cie étaient à la barre dans le cadre de la traque des biens mal acquis dont certains appellent à leur libération. Pour le président Sékou Sambou, conseiller du président de la république, « si la traque est interrompue, les générations futures risquent d’être mises à l’autel du sacrifice. Elle penseraient que le seul moyen de s’enrichir est le détournement des fonds publics, alors qu’il nous appartient de leur inculquer les vertus du travail bien fait », a-t-il souligné. Depuis de deux ans, ce responsable de la première heure de l’APR dans le département d’Oussouye ne s’est pas privé de donner quelques leçons de morale à l’opposition, qui avait accusé le président de la république de faire la promotion de l’homosexualité. « Pour rien au monde, l’opposition ne devrait pas franchir le cap en proférant des insanités à l’endroit du Chef de l’Etat », a-t-il dénoncé. Dans son fief, Sékou Sambou a presque rayé de la carte électorale l’opposition mais il lie l’hégémonie de l’Apr dans sa localité aux réalisations faites par son mentor, Macky Sall. « Lors du référendum, j’aurai aimé engranger un résultat positif à plus de 80 % au regard de ce que le président de la république a réalisé en Casamance. En effet, cette région était comme oublié du Sénégal, mais grâce au président Macky Sall qui a mis en place le pôle de développement économique, on devrait lui permettre de récolter un score mémorable », a précisé Sékou Sambou.
Depuis plus de deux ans, à la tête du programme de développement de la Casamance, le président Sekou Sambou salue l’importance de la mise en place de ce projet dont son budget est évalué à 23 milliards de nos francs. « Les femmes ont vu leur productions agricoles multipliées par 4, les hommes de même, les revenus de façon générale, sont aujourd’hui à une hausse considérable, sans compter les routes réalisées qui participent au désenclavement de la région. Quid d’une ambulance pour la première fois dans la zone du Blouff, dans le Bignona, ceci avait créé une immense bonheur chez les population, sans compter les bateaux » a-t-il conclu.
Ibrahima Khalil DIEME