La section antiterroriste du parquet de Paris s’est saisi, dans la nuit de lundi 13 juin à mardi 14 juin, de l’enquête sur la mort d’un policier et de sa compagne à Magnanville (Yvelines). Selon une source judiciaire, le parquet antiterroriste s’est saisi en raison de « la cible », un policier, du mode opératoire, des coups de couteau, et « des propos tenus » par le forcené pendant la négociation avec le RAID. Il s’est notamment revendiqué de l’organisation Etat islamique (EI), selon la même source.
L’EI a de son côté revendiqué les deux assassinats via son agence de presse, A’maq, comme l’a relevé le spécialiste de l’organisation Romain Caillet :
« Un combattant de l’Etat islamique tue à l’arme blanche un chef-adjoint de police des Mureaux ainsi que sa femme fonctionnaire dans la ville de Magnanville près de Paris. »
Les investigations ont été confiées conjointement à la sous-direction antiterroriste (SDAT) de la police judiciaire, à la police judiciaire de Versailles et à la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).
Réunion à l’Elysée
Le commandant de police de 42 ans a été tué, lundi vers 21 heures, devant son domicile. Le meurtrier, qui s’est ensuite retranché dans la maison, a été abattu lors d’un assaut des policiers d’élite du RAID.
Le corps de la compagne de la victime a été découvert, ainsi que leur enfant, sain et sauf. Selon le procureur de la République à Versailles, ce dernier, âgé de 3 ans, est « choqué, mais indemne ». Sa conjointe était également fonctionnaire du ministère de l’intérieur.
« Toute la lumière sera faite », a assuré la présidence de la République. Une réunion a été convoquée mardi matin à l’Elysée.
L’EI a de son côté revendiqué les deux assassinats via son agence de presse, A’maq, comme l’a relevé le spécialiste de l’organisation Romain Caillet :
« Un combattant de l’Etat islamique tue à l’arme blanche un chef-adjoint de police des Mureaux ainsi que sa femme fonctionnaire dans la ville de Magnanville près de Paris. »
Les investigations ont été confiées conjointement à la sous-direction antiterroriste (SDAT) de la police judiciaire, à la police judiciaire de Versailles et à la direction générale de la sécurité intérieure (DGSI).
Réunion à l’Elysée
Le commandant de police de 42 ans a été tué, lundi vers 21 heures, devant son domicile. Le meurtrier, qui s’est ensuite retranché dans la maison, a été abattu lors d’un assaut des policiers d’élite du RAID.
Le corps de la compagne de la victime a été découvert, ainsi que leur enfant, sain et sauf. Selon le procureur de la République à Versailles, ce dernier, âgé de 3 ans, est « choqué, mais indemne ». Sa conjointe était également fonctionnaire du ministère de l’intérieur.
« Toute la lumière sera faite », a assuré la présidence de la République. Une réunion a été convoquée mardi matin à l’Elysée.