C’est un sommet tripartite consacré à la situation à Gaza qui va se tenir au Caire ce lundi où Emmanuel Macron est arrivé, dimanche 6 mars. Le président français, partisan d’un cessez-le-feu, va rencontrer Abdel Fattah al-Sissi, le président égyptien ainsi que le roi Abdallah de Jordanie. Les trois défendent la reprise des convois humanitaires alors que les bombardements continuent. La situation sanitaire sur place est très préoccupante. L’ONG Norwegian Refugee Council parle même de « déni d’assistance humanitaire, transformé en arme ».
Système d'égouts dévasté, réseaux de distribution d’eau potable hors service, décharges sauvages qui s’accumulent ; la municipalité de Gaza alerte sur la situation sur place.
Sur sa page Facebook, elle donne à voir des infrastructures à terre et appelle la communauté internationale et les ONG à agir alors que le blocus humanitaire perdure depuis le 2 mars dernier.
Dimanche, les autorités sanitaires à Gaza ont prévenu du danger qui guettait les enfants si la situation s’enlisait. L'inquiétude majeure reste l’absence de vaccins contre la polio alors que tous les enfants de Gaza n’ont pas été vaccinés et qu’Israël bloque toujours l’entrée des convois humanitaires.
« Bombe à retardement »
Une « bombe à retardement » dit le ministère de la Santé de Gaza sous la supervision du Hamas. Il évoque la possibilité de paralysies et handicaps permanents pour des centaines de milliers d’enfants à Gaza.
Depuis le début de la guerre, l’Unicef alertait sur le risque que le nombre d’enfants morts de maladies surpasse celui des tués dans les bombardements, qualifiant Gaza d’endroit « le plus dangereux au monde pour un enfant ».
Système d'égouts dévasté, réseaux de distribution d’eau potable hors service, décharges sauvages qui s’accumulent ; la municipalité de Gaza alerte sur la situation sur place.
Sur sa page Facebook, elle donne à voir des infrastructures à terre et appelle la communauté internationale et les ONG à agir alors que le blocus humanitaire perdure depuis le 2 mars dernier.
Dimanche, les autorités sanitaires à Gaza ont prévenu du danger qui guettait les enfants si la situation s’enlisait. L'inquiétude majeure reste l’absence de vaccins contre la polio alors que tous les enfants de Gaza n’ont pas été vaccinés et qu’Israël bloque toujours l’entrée des convois humanitaires.
« Bombe à retardement »
Une « bombe à retardement » dit le ministère de la Santé de Gaza sous la supervision du Hamas. Il évoque la possibilité de paralysies et handicaps permanents pour des centaines de milliers d’enfants à Gaza.
Depuis le début de la guerre, l’Unicef alertait sur le risque que le nombre d’enfants morts de maladies surpasse celui des tués dans les bombardements, qualifiant Gaza d’endroit « le plus dangereux au monde pour un enfant ».