Le 2 avril 2025, la célèbre chanteuse guinéenne Djelykaba Bintou a choqué ses fans et l’opinion publique en publiant un message sur Facebook dans lequel elle accuse son ex-mari, le chanteur Azaya, de l’avoir battue. Dans cette publication poignante, l’artiste affirme avoir été frappée à plusieurs reprises par son époux et se dit choquée par la normalisation de telles violences dans la société.
Accompagné d’une photo de son visage tuméfié et marqué par des hématomes, le post de Djelykaba Bintou a rapidement fait le tour des réseaux sociaux et a suscité une vague d’indignation parmi les associations féministes. Ces dernières, telles que le Club des jeunes filles leaders de Guinée, ont exprimé leur soutien à l’artiste et ont exigé une réponse judiciaire ainsi que des mesures concrètes pour protéger les femmes victimes de violences.
Dans son message, Djelykaba Bintou déclare : « Je ne savais pas que frapper à sang une femme et de manière répétée est considéré comme normal dans la société », tout en promettant que des preuves seraient apportées en temps voulu. L'ex-épouse d'Azaya, dont elle a divorcé récemment, n'a pas encore réagi publiquement à cette accusation. Cependant, ce témoignage survient quelques jours après la sortie du clip "Cercle de feu" d’Azaya, dans lequel il évoque la « trahison » et les « mensonges » qui, selon lui, ont mené à leur séparation.
Cette affaire s’inscrit dans un contexte de violences croissantes faites aux femmes en Guinée. Au mois de mars, un autre incident tragique a eu lieu à Kankan, où une femme a été poignardée après avoir refusé une proposition en mariage. La semaine dernière, une femme enceinte est décédée des suites de violences infligées par son mari à Conakry.
Le gouvernement guinéen, par la voix de la ministre de la Protection féminine, Charlotte Daffé, a apporté son soutien à Djelykaba Bintou. Elle a encouragé les victimes et témoins de violences à « briser le silence », qualifiant cette prise de parole d'un premier pas vers la protection et la justice des femmes.
La mobilisation de la société civile et des autorités guinéennes met en lumière la nécessité urgente de mettre en place des mesures concrètes pour lutter contre les violences faites aux femmes et protéger les victimes.
Accompagné d’une photo de son visage tuméfié et marqué par des hématomes, le post de Djelykaba Bintou a rapidement fait le tour des réseaux sociaux et a suscité une vague d’indignation parmi les associations féministes. Ces dernières, telles que le Club des jeunes filles leaders de Guinée, ont exprimé leur soutien à l’artiste et ont exigé une réponse judiciaire ainsi que des mesures concrètes pour protéger les femmes victimes de violences.
Dans son message, Djelykaba Bintou déclare : « Je ne savais pas que frapper à sang une femme et de manière répétée est considéré comme normal dans la société », tout en promettant que des preuves seraient apportées en temps voulu. L'ex-épouse d'Azaya, dont elle a divorcé récemment, n'a pas encore réagi publiquement à cette accusation. Cependant, ce témoignage survient quelques jours après la sortie du clip "Cercle de feu" d’Azaya, dans lequel il évoque la « trahison » et les « mensonges » qui, selon lui, ont mené à leur séparation.
Cette affaire s’inscrit dans un contexte de violences croissantes faites aux femmes en Guinée. Au mois de mars, un autre incident tragique a eu lieu à Kankan, où une femme a été poignardée après avoir refusé une proposition en mariage. La semaine dernière, une femme enceinte est décédée des suites de violences infligées par son mari à Conakry.
Le gouvernement guinéen, par la voix de la ministre de la Protection féminine, Charlotte Daffé, a apporté son soutien à Djelykaba Bintou. Elle a encouragé les victimes et témoins de violences à « briser le silence », qualifiant cette prise de parole d'un premier pas vers la protection et la justice des femmes.
La mobilisation de la société civile et des autorités guinéennes met en lumière la nécessité urgente de mettre en place des mesures concrètes pour lutter contre les violences faites aux femmes et protéger les victimes.