2024 est sans aucun une année de rupture d'avec plus de soixante années d'évolution sur une même trajectoire définie par le " coup d'état " de Senghor contre Mamadou DIA, qui commit son comeout lorsqu'il choisit Senghor contre Modibo KEITA et lui-même.
Le 17 décembre 1962 acte la réussite et le démarrage du projet senghorien.
C'est de l'histoire, celle qui nous a construits et tel qu'a été notre pays: à garder dans un coin de la mémoire. L'échec du coup d'état de la rue, entreprit par PASTEF, avec son cortège de morts et de destructions massives, se convertit en succès électoral dont le Président SALL garde le secret.
Ce qui est fait est fait.
PASTEF, qui a malmené la justice, les forces armées et de sécurité ainsi que toutes les institutions, est aujourd'hui le donneur d'ordres à tout et tous : PASTEF est L'ÉTAT et L'ÉTAT est soumis à PASTEF.
Voilà l'essence de la révolution : PASTEF est TOUT et et le reste est RIEN.
Cette toute puissance, à peine le pouvoir, prise de vertige, commence par nuire au pays et à se nuire par les bavardages et radotages du maître des horloges, qui dégrade l'économie et la notoriété du pays, pour se venger de l'ombre vaincue, en décidant urbi et orbi que les finances de la République ne furent que gruyères et maquillage !
Patatras !!!!
Le Sénégal est dégradé et regardé comme un pouilleux qui ne mérite pas un copec, infréquentable qu'il est. Ce n'est pas fini, car les conséquences dureront autant que PASTEF sera au pouvoir. La science économique et les règles comptables, il ne faut s'en embarrasser !
La Cour des comptes du pays est attendue au tournant.
Si elle suit le gourou, elle le sauve et ruine pour des décennies son histoire, son œuvre et l'ensemble de ses hauts magistrats. Le Sénégal sera regardé comme un pays où tout est achetable, à commencer par la conscience et la soumission sacrosainte à la primauté de la loi.
On lui demandera où était-elle au moment des micsmacs. Donc elle ne valait rien.
Si la Cour des comptes ne sauve pas le gourou, victime de sa parole légère, elle redonne à au moins une institution de la République son honorabilité, la dignité de ses juges des ressources publiques, ce faisant, elle choisit d'être chevillée au respect sa mission constitutionnelle.
Peut-être que déjà elle a choisi sa posture : entrer dans histoire par la grande porte ou ne pas y entrer. Le choix est plus que cornélien : choisir pour ou contre son pays quand celui-ci est entre les griffes que l'on sait n'est pas facile. Et comme dirait l'autre, il n'y que les hautes eaux qui sortent du lit majeur, parole d'un fils du Daande Maayo.
Où mènera ce papier de fin d'année ?
En prison ? J'y suis allé déjà.
Une agression maquillée ou un meutre déguisé ? C'est possible.
Un citoyen du pays quittera les tablettes des staticiens, si tant il y est. Ce serait alors " Henndu wallitii besoowo, so adaade Allah e balɗam ".
Des injures dans Net ? C'est une arme qui a déjà coûté vies emportées et biens détruits, honorabilités souillées, donc rien de neuf avec le SYSTÈME, nouveau nom contre la Presse, la Démocratie, la Liberté de penser. En attendant que le SILENCE s'installe sur le Sénégal, je présente mes meilleurs vœux à ceux qui sont encore mes compatriotes, car " Lekki daande maayo, so wonaani hikka, wona mo wuuri ".
E weleede Allah,
Samba Diouldé THIAM
Le 17 décembre 1962 acte la réussite et le démarrage du projet senghorien.
C'est de l'histoire, celle qui nous a construits et tel qu'a été notre pays: à garder dans un coin de la mémoire. L'échec du coup d'état de la rue, entreprit par PASTEF, avec son cortège de morts et de destructions massives, se convertit en succès électoral dont le Président SALL garde le secret.
Ce qui est fait est fait.
PASTEF, qui a malmené la justice, les forces armées et de sécurité ainsi que toutes les institutions, est aujourd'hui le donneur d'ordres à tout et tous : PASTEF est L'ÉTAT et L'ÉTAT est soumis à PASTEF.
Voilà l'essence de la révolution : PASTEF est TOUT et et le reste est RIEN.
Cette toute puissance, à peine le pouvoir, prise de vertige, commence par nuire au pays et à se nuire par les bavardages et radotages du maître des horloges, qui dégrade l'économie et la notoriété du pays, pour se venger de l'ombre vaincue, en décidant urbi et orbi que les finances de la République ne furent que gruyères et maquillage !
Patatras !!!!
Le Sénégal est dégradé et regardé comme un pouilleux qui ne mérite pas un copec, infréquentable qu'il est. Ce n'est pas fini, car les conséquences dureront autant que PASTEF sera au pouvoir. La science économique et les règles comptables, il ne faut s'en embarrasser !
La Cour des comptes du pays est attendue au tournant.
Si elle suit le gourou, elle le sauve et ruine pour des décennies son histoire, son œuvre et l'ensemble de ses hauts magistrats. Le Sénégal sera regardé comme un pays où tout est achetable, à commencer par la conscience et la soumission sacrosainte à la primauté de la loi.
On lui demandera où était-elle au moment des micsmacs. Donc elle ne valait rien.
Si la Cour des comptes ne sauve pas le gourou, victime de sa parole légère, elle redonne à au moins une institution de la République son honorabilité, la dignité de ses juges des ressources publiques, ce faisant, elle choisit d'être chevillée au respect sa mission constitutionnelle.
Peut-être que déjà elle a choisi sa posture : entrer dans histoire par la grande porte ou ne pas y entrer. Le choix est plus que cornélien : choisir pour ou contre son pays quand celui-ci est entre les griffes que l'on sait n'est pas facile. Et comme dirait l'autre, il n'y que les hautes eaux qui sortent du lit majeur, parole d'un fils du Daande Maayo.
Où mènera ce papier de fin d'année ?
En prison ? J'y suis allé déjà.
Une agression maquillée ou un meutre déguisé ? C'est possible.
Un citoyen du pays quittera les tablettes des staticiens, si tant il y est. Ce serait alors " Henndu wallitii besoowo, so adaade Allah e balɗam ".
Des injures dans Net ? C'est une arme qui a déjà coûté vies emportées et biens détruits, honorabilités souillées, donc rien de neuf avec le SYSTÈME, nouveau nom contre la Presse, la Démocratie, la Liberté de penser. En attendant que le SILENCE s'installe sur le Sénégal, je présente mes meilleurs vœux à ceux qui sont encore mes compatriotes, car " Lekki daande maayo, so wonaani hikka, wona mo wuuri ".
E weleede Allah,
Samba Diouldé THIAM