Lansana Gagny Sakho, le tout nouveau président du conseil d’administration de l’Agence de Promotion des Investissements et des Grands Travaux (APIX), a publié un message dans lequel il n’a pas épargné le ministre de la Communication, Alioune Sall, dont la gestion fait l’objet de vives critiques ces derniers temps.
À l’origine de sa colère, M. Sakho soupçonne le ministre d’être impliqué dans un « griotisme médiatique » qui lui aurait valu le titre d’homme de l’année. « Je pensais que les gens du numérique au Sénégal étaient plus sérieux… Si le numérique enfile les habits du griotisme, il y a de quoi se décourager de ce pays. Certains acteurs de l’écosystème se battent depuis plusieurs dizaines d’années pour faire bouger les lignes. Alioune est gentil, mais il vient juste d’arriver, huit mois à peine. L’assainissement de la presse n’est pas une stratégie numérique », a déploré le PCA de l’APIX.
Pour Lansana Gagny Sakho, Alioune Sall aurait dû attendre un autre moment pour éviter de gâcher les célébrations du 1ᵉʳ janvier. « Ce pays risque de rester une grosse blague, 365 jours sur 365. Mettre fin à ces pratiques fait également partie de l’assainissement de la presse », a-t-il ajouté.
Depuis la publication de la première liste des médias reconnus par l’État du Sénégal, Alioune Sall fait face à de nombreuses critiques sur ses démarches et sa communication. Lansana Gagny Sakho, connu pour son franc-parler, ne veut pas laisser passer cette propagande en faveur du ministre de la Communication.
À l’origine de sa colère, M. Sakho soupçonne le ministre d’être impliqué dans un « griotisme médiatique » qui lui aurait valu le titre d’homme de l’année. « Je pensais que les gens du numérique au Sénégal étaient plus sérieux… Si le numérique enfile les habits du griotisme, il y a de quoi se décourager de ce pays. Certains acteurs de l’écosystème se battent depuis plusieurs dizaines d’années pour faire bouger les lignes. Alioune est gentil, mais il vient juste d’arriver, huit mois à peine. L’assainissement de la presse n’est pas une stratégie numérique », a déploré le PCA de l’APIX.
Pour Lansana Gagny Sakho, Alioune Sall aurait dû attendre un autre moment pour éviter de gâcher les célébrations du 1ᵉʳ janvier. « Ce pays risque de rester une grosse blague, 365 jours sur 365. Mettre fin à ces pratiques fait également partie de l’assainissement de la presse », a-t-il ajouté.
Depuis la publication de la première liste des médias reconnus par l’État du Sénégal, Alioune Sall fait face à de nombreuses critiques sur ses démarches et sa communication. Lansana Gagny Sakho, connu pour son franc-parler, ne veut pas laisser passer cette propagande en faveur du ministre de la Communication.