La campagne présidentielle américaine a été secouée par le retrait inattendu du président sortant Joe Biden, annoncé le dimanche 21 juillet. À ce jour, la vice-présidente Kamala Harris est la seule candidate déclarée, bien que son choix de colistier puisse se révéler complexe. Certains membres du Parti démocrate plaident pour l'émergence d'un nouveau candidat plutôt que pour une nomination automatique de Harris.
Pour beaucoup de cadres du Parti démocrate, ce retrait était attendu. Cependant, certains, comme Jorge Granados, président des jeunes démocrates du comté de Gwinnett en banlieue d’Atlanta, estiment que cette décision est arrivée trop tard. Granados déclare : « C’est pratiquement trop tard maintenant. La convention du Parti démocrate approche à grands pas, tout comme l’élection de novembre. »
D'autres membres du parti, comme Ravi Batra, trouvent le choix de Kamala Harris compréhensible, mais préféreraient voir émerger un nouveau visage. Selon lui, un nouveau candidat pourrait insuffler une nouvelle dynamique et attirer les jeunes électeurs, crucial pour remporter la présidentielle.
Au sein du parti, l’opinion est partagée sur la question. Seulement la moitié des membres croient que le retrait de Biden pourrait favoriser une victoire démocrate en novembre. Barack Obama, tout en ne mentionnant pas Kamala Harris, appelle à un « processus d'où émergera un candidat exceptionnel ». Il se prononce en faveur d’une primaire ouverte lors de la convention démocrate, prévue pour le 19 août à Chicago, plutôt que de soutenir formellement Harris. Obama souligne que, bien que Kamala Harris soit une candidate probable, il souhaite un processus plus transparent.
Malgré leur relation étroite et leur soutien réciproque dans le passé, l’ancien président semble réticent à soutenir Harris de manière évidente. David Axelrod, ancien stratège d’Obama, suggère que Harris pourrait ne pas être la mieux placée pour remporter les États-clés du Midwest, où Trump mène actuellement.
La vice-présidente doit rapidement choisir un colistier capable de séduire les électeurs qu'elle peine à convaincre. Des noms comme Josh Shapiro, gouverneur de Pennsylvanie, et Mark Kelly, sénateur de l’Arizona, sont souvent évoqués. D’autres, comme Andy Beshear, gouverneur du Kentucky, sont également considérés.
Si Kamala Harris ne parvient pas à obtenir une majorité claire d’ici le 19 août, la convention démocrate pourrait voir plusieurs votes jusqu’à ce qu’un consensus se dégage. Les démocrates souhaitent éviter une répétition du chaos de la convention de 1968 et faire face à une opposition républicaine unie.
Dans l’opinion publique, les avis sont partagés. Certains estiment que le retrait de Biden pourrait offrir une chance aux démocrates contre Trump, tandis que d’autres doutent que Kamala Harris puisse gagner. Pour certains New-Yorkais, Harris représente une opportunité historique comme première femme noire présidente, mais elle devra améliorer ses performances dans les sondages pour se rapprocher de la victoire.
Pour beaucoup de cadres du Parti démocrate, ce retrait était attendu. Cependant, certains, comme Jorge Granados, président des jeunes démocrates du comté de Gwinnett en banlieue d’Atlanta, estiment que cette décision est arrivée trop tard. Granados déclare : « C’est pratiquement trop tard maintenant. La convention du Parti démocrate approche à grands pas, tout comme l’élection de novembre. »
D'autres membres du parti, comme Ravi Batra, trouvent le choix de Kamala Harris compréhensible, mais préféreraient voir émerger un nouveau visage. Selon lui, un nouveau candidat pourrait insuffler une nouvelle dynamique et attirer les jeunes électeurs, crucial pour remporter la présidentielle.
Au sein du parti, l’opinion est partagée sur la question. Seulement la moitié des membres croient que le retrait de Biden pourrait favoriser une victoire démocrate en novembre. Barack Obama, tout en ne mentionnant pas Kamala Harris, appelle à un « processus d'où émergera un candidat exceptionnel ». Il se prononce en faveur d’une primaire ouverte lors de la convention démocrate, prévue pour le 19 août à Chicago, plutôt que de soutenir formellement Harris. Obama souligne que, bien que Kamala Harris soit une candidate probable, il souhaite un processus plus transparent.
Malgré leur relation étroite et leur soutien réciproque dans le passé, l’ancien président semble réticent à soutenir Harris de manière évidente. David Axelrod, ancien stratège d’Obama, suggère que Harris pourrait ne pas être la mieux placée pour remporter les États-clés du Midwest, où Trump mène actuellement.
La vice-présidente doit rapidement choisir un colistier capable de séduire les électeurs qu'elle peine à convaincre. Des noms comme Josh Shapiro, gouverneur de Pennsylvanie, et Mark Kelly, sénateur de l’Arizona, sont souvent évoqués. D’autres, comme Andy Beshear, gouverneur du Kentucky, sont également considérés.
Si Kamala Harris ne parvient pas à obtenir une majorité claire d’ici le 19 août, la convention démocrate pourrait voir plusieurs votes jusqu’à ce qu’un consensus se dégage. Les démocrates souhaitent éviter une répétition du chaos de la convention de 1968 et faire face à une opposition républicaine unie.
Dans l’opinion publique, les avis sont partagés. Certains estiment que le retrait de Biden pourrait offrir une chance aux démocrates contre Trump, tandis que d’autres doutent que Kamala Harris puisse gagner. Pour certains New-Yorkais, Harris représente une opportunité historique comme première femme noire présidente, mais elle devra améliorer ses performances dans les sondages pour se rapprocher de la victoire.
