Au cours d'une session d’échanges tenue ce samedi dans un établissement hôtelier de Dakar, le président du Comité d’organisation des Jeux Olympiques de la Jeunesse Dakar 2026 (COJOJ) a mis fin à toute ambiguïté concernant ses relations avec les anciens athlètes, les déclarations intempestives de Barthélémy Dias et ses supposés avantages au sein du COJOJ.
Concernant ses relations avec les anciens athlètes du Sénégal, en particulier l'ancien médaillé olympique Elhadji Amadou Dia Ba, Mamadou Diagna Ndiaye est formel : son principal souci reste l’athlète. "Passé, présent, futur, l’essentiel pour moi, c’est l’athlète", a-t-il confié. Il a également précisé qu’il n’existe aucune ambiance de "bamboula" au sein du COJOJ. "Qu’il soit définitivement compris et admis par tout le monde que nous sommes en mission, une mission qui nous transcende et nous oblige", a martelé le président du COJOJ.
Diagna Ndiaye a estimé que ce moment d’échanges et de clarification avec les médias était nécessaire face aux "inexactitudes et aux arguments accusateurs hallucinants, aux allures de procès de Moscou". Lors de cet entretien, il a apporté des éclaircissements sur plusieurs points, notamment ses relations avec les anciennes gloires du monde olympique. "Nous avions déjà procédé à cet exercice, il y a très longtemps, en invitant les athlètes de 1964. Ils sont cinq, et malheureusement, l’un d’eux manque à l'appel. Je parle sous le contrôle de Santi Sene Agne, ici présent. Je n’ai aucun problème avec les anciens athlètes. Au contraire, nous avons de bons rapports", a précisé le président du COJOJ.
Concernant le cas d’Elhadji Amadou Dia Ba, il a expliqué : "Vous savez que le CIO accrédite seulement les trois derniers jours pour certains athlètes. Moi, j’avais une accréditation pour une conjointe, un invité ou un ami. J’ai personnellement choisi d’accréditer Amadou Dia Ba au même titre que moi, bien qu’il n’y ait pas droit. Il est resté à Paris avec moi, et je m’en suis occupé tant que cela était possible. Maintenant, je ne gère pas des arrière-pensées. S’il a des choses à nous dire, qu’il nous les dise." Il a également mentionné que lui et Ibrahima Wade avaient confié à Amadou Dia Ba la tâche de travailler avec les jeunes athlètes en vue de l’investissement. "J’ai parlé avec son patron, le président de la Confédération africaine d’athlétisme, et je parle régulièrement avec le président de World Athletics. Nous avons trouvé des voies et moyens, notamment avec Balla Gaye, que je respecte profondément, et qui est un champion du monde, et c’est lui qui s’occupe de ces problèmes-là", a ajouté le président du COJOJ. Il a réitéré que son premier souci reste l’athlète, passé, présent ou futur.
Le président Diagna Ndiaye a ensuite été interpellé sur les accusations de l’ex-maire de Dakar, Barthélémy Dias, à l'encontre du COJOJ. Il a d’abord précisé qu’il respecte monsieur Barthélémy Dias et n’a pas de problème particulier avec lui. "J’ai visionné les vidéos avant de venir, et j’ai vu qu’il ne m’a pas attaqué personnellement. Il a dit qu’il a des projets qu’il voulait faire financer. Moi, je ne suis pas contre, mais le problème est que dans le comité d’organisation, nous sommes régis par des règles, comme dans tous les autres comités d’organisation. Et nous n’y échappons pas. Même pour les JO de Paris, ce n’est pas le COJOJ qui a donné de l’argent à la mairie, mais l’inverse. Ce que la mairie de Paris a donné est presque équivalent à notre budget de fonctionnement des JO de Dakar. Peut-être qu’il n’avait pas tous les éléments, et c’est sans doute pourquoi il s’est risqué sur ce terrain." Il a également rappelé que Barthélémy Dias avait dit avoir fait beaucoup de choses pour lui, "et je le remercie d’avance", a-t-il précisé. "Il le dira sans doute ce qu’il a fait pour moi", a ajouté le président du COJOJ.
Enfin, il a conclu en réaffirmant que son équipe est en mission. "Il faut que ce soit définitivement compris et admis de tous : nous sommes en mission, une mission qui nous transcende et nous oblige. Nous gardons le cap, et c’est seulement cela qui importe", a-t-il insisté. Mamadou Diagna Ndiaye a également tenu à préciser : "Je n’ai pas de salaire au COJOJ, ni de primes, ni de perdiems, ni d’autres avantages." Cela, a-t-il ajouté, a le mérite d’être clair et net.
Concernant ses relations avec les anciens athlètes du Sénégal, en particulier l'ancien médaillé olympique Elhadji Amadou Dia Ba, Mamadou Diagna Ndiaye est formel : son principal souci reste l’athlète. "Passé, présent, futur, l’essentiel pour moi, c’est l’athlète", a-t-il confié. Il a également précisé qu’il n’existe aucune ambiance de "bamboula" au sein du COJOJ. "Qu’il soit définitivement compris et admis par tout le monde que nous sommes en mission, une mission qui nous transcende et nous oblige", a martelé le président du COJOJ.
Diagna Ndiaye a estimé que ce moment d’échanges et de clarification avec les médias était nécessaire face aux "inexactitudes et aux arguments accusateurs hallucinants, aux allures de procès de Moscou". Lors de cet entretien, il a apporté des éclaircissements sur plusieurs points, notamment ses relations avec les anciennes gloires du monde olympique. "Nous avions déjà procédé à cet exercice, il y a très longtemps, en invitant les athlètes de 1964. Ils sont cinq, et malheureusement, l’un d’eux manque à l'appel. Je parle sous le contrôle de Santi Sene Agne, ici présent. Je n’ai aucun problème avec les anciens athlètes. Au contraire, nous avons de bons rapports", a précisé le président du COJOJ.
Concernant le cas d’Elhadji Amadou Dia Ba, il a expliqué : "Vous savez que le CIO accrédite seulement les trois derniers jours pour certains athlètes. Moi, j’avais une accréditation pour une conjointe, un invité ou un ami. J’ai personnellement choisi d’accréditer Amadou Dia Ba au même titre que moi, bien qu’il n’y ait pas droit. Il est resté à Paris avec moi, et je m’en suis occupé tant que cela était possible. Maintenant, je ne gère pas des arrière-pensées. S’il a des choses à nous dire, qu’il nous les dise." Il a également mentionné que lui et Ibrahima Wade avaient confié à Amadou Dia Ba la tâche de travailler avec les jeunes athlètes en vue de l’investissement. "J’ai parlé avec son patron, le président de la Confédération africaine d’athlétisme, et je parle régulièrement avec le président de World Athletics. Nous avons trouvé des voies et moyens, notamment avec Balla Gaye, que je respecte profondément, et qui est un champion du monde, et c’est lui qui s’occupe de ces problèmes-là", a ajouté le président du COJOJ. Il a réitéré que son premier souci reste l’athlète, passé, présent ou futur.
Le président Diagna Ndiaye a ensuite été interpellé sur les accusations de l’ex-maire de Dakar, Barthélémy Dias, à l'encontre du COJOJ. Il a d’abord précisé qu’il respecte monsieur Barthélémy Dias et n’a pas de problème particulier avec lui. "J’ai visionné les vidéos avant de venir, et j’ai vu qu’il ne m’a pas attaqué personnellement. Il a dit qu’il a des projets qu’il voulait faire financer. Moi, je ne suis pas contre, mais le problème est que dans le comité d’organisation, nous sommes régis par des règles, comme dans tous les autres comités d’organisation. Et nous n’y échappons pas. Même pour les JO de Paris, ce n’est pas le COJOJ qui a donné de l’argent à la mairie, mais l’inverse. Ce que la mairie de Paris a donné est presque équivalent à notre budget de fonctionnement des JO de Dakar. Peut-être qu’il n’avait pas tous les éléments, et c’est sans doute pourquoi il s’est risqué sur ce terrain." Il a également rappelé que Barthélémy Dias avait dit avoir fait beaucoup de choses pour lui, "et je le remercie d’avance", a-t-il précisé. "Il le dira sans doute ce qu’il a fait pour moi", a ajouté le président du COJOJ.
Enfin, il a conclu en réaffirmant que son équipe est en mission. "Il faut que ce soit définitivement compris et admis de tous : nous sommes en mission, une mission qui nous transcende et nous oblige. Nous gardons le cap, et c’est seulement cela qui importe", a-t-il insisté. Mamadou Diagna Ndiaye a également tenu à préciser : "Je n’ai pas de salaire au COJOJ, ni de primes, ni de perdiems, ni d’autres avantages." Cela, a-t-il ajouté, a le mérite d’être clair et net.