Le chef de l’Etat Macky Sall a dit mardi son regret de n’avoir pas pu mener "assez de réformes" durant son premier mandat à la tête du Sénégal, promettant d’en faire davantage une fois élu pour un second mandat.
"Il faudra réformer. C’est ce que nous n’avons pas assez fait ces sept dernières années, parce que nous ne pouvons pas tout faire", a-t-il dit lors de la présentation de l’ouvrage "Le Sénégal au cœur", qui retrace son parcours.
Le président Sall dit s’être surtout attelé à faire certains rattrapages sur le plan des infrastructures et dans le domaine de l’électricité par exemple, lors de son premier mandat.
"Nous sommes tranquilles aujourd’hui (…). Nous avons développé des projets pour la Casamance, pour les territoires frontaliers, pour les doter du minimum. Nous allons les poursuivre", a-t-il promis.
Il a annoncé l’amplification de certaines des actions visant à "réformer l’administration", "la manière de travailler", avant de souligner la nécessité d’agir "aussi sur l’environnement" dans la capitale sénégalaise.
"Nous devons avancer de façon déterminante sur nos ambitions d’émergence. Je crois sincèrement que le Sénégal peut être une des étoiles de l’Afrique, nous en avons toutes les capacités", a poursuivi le président de la République.
Selon lui, le gouvernement "doit se battre pour l’accès universel à l’eau potable, à l’électricité, mais également pour "faciliter le déplacement" des populations via "un vaste programme de désenclavement".
"Ce sont là des choses que nous devons faire. Nous devons absolument atteindre ces objectifs. Ils sont à notre portée. Il nous faut nous focaliser sur les résultats. Il faut que nous atteignions les objectifs pour lesquels nous nous battons", a insisté Macky Sall.
Le président Sall a présenté son ouvrage devant les journalistes, les diplomates accrédités, des présidents des hautes institutions de la République ainsi que des membres du gouvernement.
Il y avait aussi des députés, des militants de partis de la majorité présidentielle ainsi que des universitaires.
APS
"Il faudra réformer. C’est ce que nous n’avons pas assez fait ces sept dernières années, parce que nous ne pouvons pas tout faire", a-t-il dit lors de la présentation de l’ouvrage "Le Sénégal au cœur", qui retrace son parcours.
Le président Sall dit s’être surtout attelé à faire certains rattrapages sur le plan des infrastructures et dans le domaine de l’électricité par exemple, lors de son premier mandat.
"Nous sommes tranquilles aujourd’hui (…). Nous avons développé des projets pour la Casamance, pour les territoires frontaliers, pour les doter du minimum. Nous allons les poursuivre", a-t-il promis.
Il a annoncé l’amplification de certaines des actions visant à "réformer l’administration", "la manière de travailler", avant de souligner la nécessité d’agir "aussi sur l’environnement" dans la capitale sénégalaise.
"Nous devons avancer de façon déterminante sur nos ambitions d’émergence. Je crois sincèrement que le Sénégal peut être une des étoiles de l’Afrique, nous en avons toutes les capacités", a poursuivi le président de la République.
Selon lui, le gouvernement "doit se battre pour l’accès universel à l’eau potable, à l’électricité, mais également pour "faciliter le déplacement" des populations via "un vaste programme de désenclavement".
"Ce sont là des choses que nous devons faire. Nous devons absolument atteindre ces objectifs. Ils sont à notre portée. Il nous faut nous focaliser sur les résultats. Il faut que nous atteignions les objectifs pour lesquels nous nous battons", a insisté Macky Sall.
Le président Sall a présenté son ouvrage devant les journalistes, les diplomates accrédités, des présidents des hautes institutions de la République ainsi que des membres du gouvernement.
Il y avait aussi des députés, des militants de partis de la majorité présidentielle ainsi que des universitaires.
APS