La Mauritanie dégage ses responsabilités sur le meurtre du pêcheur sénégalais dans ses eaux territoriales. Selon l’état-major général des armées de la Mauritanie, c’est «le comportement provocateur de l’équipage de la pirogue» qui est à l’origine du drame. Car, Fallou Diakhaté et compagnie avaient non seulement refusé d’obtempérer, mais ils avaient l’intention de provoquer une collision avec le navire mauritanien.
L’Etat-major général des Armées de la Mauritanie disculpe les gardes côtes qui ont tiré sur une pirogue de pêcheurs sénégalais, tuant un jeune, âgé de 19 ans, samedi dernier. «Au cours d’une mission de surveillance des pêches, une patrouille des Gardes Côtes a intercepté dans la soirée du samedi 27 janvier 2018 dans la zone de N’diago à la position (16° 06 N – 16° 35 W) une pirogue sénégalaise qui péchait sans autorisation dans nos eaux territoriales», peut-on lire dans un communiqué rendu public hier par l’Armée mauritanienne. « Sommée de s’arrêter, la pirogue a refusé d’obtempérer aux mises en gardes répétées de l’équipage et s’est même rapprochée du bateau de surveillance dans l’intention d’entrer en collision avec lui en vue de l’endommager » précise la même source.
Ainsi, déclare l’Etat-major Général des Armées, « face à cette situation dangereuse, et dans le but d’immobiliser l’embarcation, le patrouilleur a procédé aux tirs sur le moteur de la pirogue». Après son immobilisation, précise la même source, «il s’est avéré que l’un de ses neuf occupants a été touché et il succomba à ses blessures quelques temps après». Comme pour disculper ses soldats dans ce crime odieux perpétré sur le jeune sénégalais, l’Etat major rappelle «qu'au cours de l’année 2017, soixante-deux opérations de contrôle en mer ont été opérées par les unités de la Marine Nationale et de la Garde Côte.
Ces opérations ont permis d’arraisonner 108 pirogues et d’interpeler 930 pécheurs sans enregistrer d’incidents et sans déplorer de pertes humaines». En définitive indique la même source, «dans ce cas précis le comportement provocateur de l’équipage de la pirogue a été à l’origine de cet incident regrettable qui a eu pour conséquence la perte d’une vie humaine». Cependant, note-le communiqué «l’accès à la ressource halieutique du pays demeure régi par des lois et règlements dont les unités de la Marine et des Gardes Côtes ont pour mission d’appliquer et d’user dans ce cadre de l’ensemble de moyens dont ils disposent»
L’Etat-major général des Armées de la Mauritanie disculpe les gardes côtes qui ont tiré sur une pirogue de pêcheurs sénégalais, tuant un jeune, âgé de 19 ans, samedi dernier. «Au cours d’une mission de surveillance des pêches, une patrouille des Gardes Côtes a intercepté dans la soirée du samedi 27 janvier 2018 dans la zone de N’diago à la position (16° 06 N – 16° 35 W) une pirogue sénégalaise qui péchait sans autorisation dans nos eaux territoriales», peut-on lire dans un communiqué rendu public hier par l’Armée mauritanienne. « Sommée de s’arrêter, la pirogue a refusé d’obtempérer aux mises en gardes répétées de l’équipage et s’est même rapprochée du bateau de surveillance dans l’intention d’entrer en collision avec lui en vue de l’endommager » précise la même source.
Ainsi, déclare l’Etat-major Général des Armées, « face à cette situation dangereuse, et dans le but d’immobiliser l’embarcation, le patrouilleur a procédé aux tirs sur le moteur de la pirogue». Après son immobilisation, précise la même source, «il s’est avéré que l’un de ses neuf occupants a été touché et il succomba à ses blessures quelques temps après». Comme pour disculper ses soldats dans ce crime odieux perpétré sur le jeune sénégalais, l’Etat major rappelle «qu'au cours de l’année 2017, soixante-deux opérations de contrôle en mer ont été opérées par les unités de la Marine Nationale et de la Garde Côte.
Ces opérations ont permis d’arraisonner 108 pirogues et d’interpeler 930 pécheurs sans enregistrer d’incidents et sans déplorer de pertes humaines». En définitive indique la même source, «dans ce cas précis le comportement provocateur de l’équipage de la pirogue a été à l’origine de cet incident regrettable qui a eu pour conséquence la perte d’une vie humaine». Cependant, note-le communiqué «l’accès à la ressource halieutique du pays demeure régi par des lois et règlements dont les unités de la Marine et des Gardes Côtes ont pour mission d’appliquer et d’user dans ce cadre de l’ensemble de moyens dont ils disposent»