J’ai connu Momar Seyni en 1993 lorsqu’alors jeune militante et directrice de campagne de Landing Savané nous envahirent la rédaction du journal Le Soleil qu’il dirigeait pour réclamer une plus grande couverture des activités de notre candidat.
Il nous écouta patiemment et engagea une discussion ouverte et positive sur le bien public que constitue Le Soleil. Et les jeunes militants turbulents que nous étions repartirent avec une belle leçon de démocratie.
Momar Seyni était un intellectuel au sens noble du terme en perpétuel questionnement de l’espace public. Il était aussi un homme prévenant et soucieux du bien-être des autres.
Il nous a subitement quitté sans dire au revoir laissant ses amis que nous sommes dans une grande tristesse. Avec son rappel à Dieu, la presse sénégalaise perd l’un de ses meilleurs analystes.
Que Allah l’accueille dans son Paradis et veille sur sa famille.
Il nous écouta patiemment et engagea une discussion ouverte et positive sur le bien public que constitue Le Soleil. Et les jeunes militants turbulents que nous étions repartirent avec une belle leçon de démocratie.
Momar Seyni était un intellectuel au sens noble du terme en perpétuel questionnement de l’espace public. Il était aussi un homme prévenant et soucieux du bien-être des autres.
Il nous a subitement quitté sans dire au revoir laissant ses amis que nous sommes dans une grande tristesse. Avec son rappel à Dieu, la presse sénégalaise perd l’un de ses meilleurs analystes.
Que Allah l’accueille dans son Paradis et veille sur sa famille.