Ousmane Sonko, né le 15 juillet 1974 à Thiès, célèbre ce lundi ses 50 ans. À cette occasion, nous revenons sur son parcours politique marqué par de nombreux défis et rebondissements.
Sonko a fondé en 2014 le parti Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l'éthique et la fraternité (PASTEF), qu'il a présidé jusqu'à sa dissolution en juillet 2023. En 2017, il est élu député à l'Assemblée nationale, poste qu'il occupe jusqu'en 2022. En 2022, il devient maire de Ziguinchor, un mandat qu'il exerce jusqu'à 2024.
En 2019, il se présente à l'élection présidentielle sous la bannière de la coalition « Sonko Président » et termine à la troisième place avec 15,67 % des voix, derrière Macky Sall et Idrissa Seck. Cette performance marque son entrée sur la scène politique nationale en tant qu'opposant de premier plan.
Cependant, en février 2021, Sonko est accusé de viols et de menaces de mort par Adji Sarr, une employée d'un salon de massage. Il dénonce ces accusations comme une « tentative de liquidation politique » orchestrée par le camp présidentiel. Son arrestation provoque de violentes manifestations en mars 2021.
Le 1er juin 2023, Sonko est acquitté des accusations de viols et de menaces de mort, mais il est condamné à deux ans de prison ferme pour « corruption de la jeunesse ». En janvier 2024, sa candidature à l'élection présidentielle est invalidée par le Conseil constitutionnel en raison de multiples condamnations.
Depuis sa cellule, Sonko appelle à soutenir son ami et collègue Bassirou Diomaye Faye pour l'élection présidentielle. Libéré en mars 2024, il soutient activement Faye, qui est élu président de la République avec 54 % des voix au premier tour. Par la suite, Ousmane Sonko est nommé Premier ministre.
À 50 ans, Sonko est un acteur incontournable de la politique sénégalaise, avec un parcours marqué par des luttes acharnées et une résilience indéniable. Son influence et son engagement continuent de façonner l'avenir politique du Sénégal.
Sonko a fondé en 2014 le parti Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l'éthique et la fraternité (PASTEF), qu'il a présidé jusqu'à sa dissolution en juillet 2023. En 2017, il est élu député à l'Assemblée nationale, poste qu'il occupe jusqu'en 2022. En 2022, il devient maire de Ziguinchor, un mandat qu'il exerce jusqu'à 2024.
En 2019, il se présente à l'élection présidentielle sous la bannière de la coalition « Sonko Président » et termine à la troisième place avec 15,67 % des voix, derrière Macky Sall et Idrissa Seck. Cette performance marque son entrée sur la scène politique nationale en tant qu'opposant de premier plan.
Cependant, en février 2021, Sonko est accusé de viols et de menaces de mort par Adji Sarr, une employée d'un salon de massage. Il dénonce ces accusations comme une « tentative de liquidation politique » orchestrée par le camp présidentiel. Son arrestation provoque de violentes manifestations en mars 2021.
Le 1er juin 2023, Sonko est acquitté des accusations de viols et de menaces de mort, mais il est condamné à deux ans de prison ferme pour « corruption de la jeunesse ». En janvier 2024, sa candidature à l'élection présidentielle est invalidée par le Conseil constitutionnel en raison de multiples condamnations.
Depuis sa cellule, Sonko appelle à soutenir son ami et collègue Bassirou Diomaye Faye pour l'élection présidentielle. Libéré en mars 2024, il soutient activement Faye, qui est élu président de la République avec 54 % des voix au premier tour. Par la suite, Ousmane Sonko est nommé Premier ministre.
À 50 ans, Sonko est un acteur incontournable de la politique sénégalaise, avec un parcours marqué par des luttes acharnées et une résilience indéniable. Son influence et son engagement continuent de façonner l'avenir politique du Sénégal.