Depuis plusieurs années, le Parlement de la CEDEAO est au cœur de la polémique, notamment en raison des déclarations du député sénégalais Guy Marius Sagna sur le CFA et l’appauvrissement de l'Afrique par les chefs d’État. Récemment, des critiques ont émergé concernant l’élection des vice-présidents du Parlement.
Une note adressée à la présidente du Parlement dénonce plusieurs violations des règles et des pratiques parlementaires établies depuis la première législature. Les parlementaires ont notamment critiqué l'élection du Président Pro-Tempore le 4 avril 2024, affirmant que cette élection a enfreint l'Acte Additionnel et le Règlement intérieur du Parlement. Ils soulignent également que cette élection a facilité des violations des règles d'équilibre linguistique dans la composition du bureau du Parlement, en excluant injustement les lusophones.
Selon la pratique établie, lorsque le Parlement est présidé par un pays francophone, le Nigeria occupe le poste de premier Vice-président, un autre pays francophone le poste de deuxième Vice-président, un pays lusophone le poste de troisième Vice-président et un pays anglophone le poste de quatrième Vice-président. Lorsque le Nigeria préside, un pays lusophone devient premier Vice-président, un pays francophone occupe le deuxième poste, un pays anglophone le troisième, et un autre pays francophone le quatrième. Enfin, lorsque la présidence est assurée par un pays anglophone autre que le Nigeria, ce dernier obtient le poste de premier Vice-président, un pays francophone le poste de deuxième Vice-président, un pays lusophone le poste de troisième et un autre pays francophone le poste de quatrième Vice-président.
Une note adressée à la présidente du Parlement dénonce plusieurs violations des règles et des pratiques parlementaires établies depuis la première législature. Les parlementaires ont notamment critiqué l'élection du Président Pro-Tempore le 4 avril 2024, affirmant que cette élection a enfreint l'Acte Additionnel et le Règlement intérieur du Parlement. Ils soulignent également que cette élection a facilité des violations des règles d'équilibre linguistique dans la composition du bureau du Parlement, en excluant injustement les lusophones.
Selon la pratique établie, lorsque le Parlement est présidé par un pays francophone, le Nigeria occupe le poste de premier Vice-président, un autre pays francophone le poste de deuxième Vice-président, un pays lusophone le poste de troisième Vice-président et un pays anglophone le poste de quatrième Vice-président. Lorsque le Nigeria préside, un pays lusophone devient premier Vice-président, un pays francophone occupe le deuxième poste, un pays anglophone le troisième, et un autre pays francophone le quatrième. Enfin, lorsque la présidence est assurée par un pays anglophone autre que le Nigeria, ce dernier obtient le poste de premier Vice-président, un pays francophone le poste de deuxième Vice-président, un pays lusophone le poste de troisième et un autre pays francophone le poste de quatrième Vice-président.