Le ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Alioune Sall, a affirmé que l’État sénégalais n’a aucun conflit avec les entreprises de médias, tout en invitant les acteurs du secteur à un dialogue.
"J’invite ce secteur, à travers le patronat, les syndicats à venir autour de la table, s’ils veulent dialoguer pour trouver des solutions. Nous sommes prêts à les écouter, nous sommes prêts à les accompagner, mais il faut qu’on le fasse dans le respect et avec responsabilité. Je dis encore et je le répète : l’Etat du Sénégal, à travers le ministère de la Communication, n’a aucun problème avec les entreprises de médias au Sénégal. Je veux que ça soit clair, l’Etat du Sénégal n’a pas de problème avec le secteur de la presse’’, a-t-il insisté.
Lors du lancement de la plateforme ‘’Déclaration médias du Sénégal’’, il a insisté sur le fait que les problèmes rencontrés par la presse sont davantage liés au fisc qu’à la communication. Le ministre a exprimé sa volonté de dialoguer avec le patronat et les syndicats pour trouver des solutions et améliorer les conditions de travail, notamment pour les jeunes reporters. Il a également souligné l'importance de restructurer les entreprises de presse pour les rendre plus autonomes et viables.
"J’invite ce secteur, à travers le patronat, les syndicats à venir autour de la table, s’ils veulent dialoguer pour trouver des solutions. Nous sommes prêts à les écouter, nous sommes prêts à les accompagner, mais il faut qu’on le fasse dans le respect et avec responsabilité. Je dis encore et je le répète : l’Etat du Sénégal, à travers le ministère de la Communication, n’a aucun problème avec les entreprises de médias au Sénégal. Je veux que ça soit clair, l’Etat du Sénégal n’a pas de problème avec le secteur de la presse’’, a-t-il insisté.
Lors du lancement de la plateforme ‘’Déclaration médias du Sénégal’’, il a insisté sur le fait que les problèmes rencontrés par la presse sont davantage liés au fisc qu’à la communication. Le ministre a exprimé sa volonté de dialoguer avec le patronat et les syndicats pour trouver des solutions et améliorer les conditions de travail, notamment pour les jeunes reporters. Il a également souligné l'importance de restructurer les entreprises de presse pour les rendre plus autonomes et viables.