Le lundi 22 juillet 2024, les familles d’Omar Ampouye Bodian et René Capin Bassène, ainsi que d’autres acquittés et le mouvement Vision Citoyenne, se sont exprimés lors d'une conférence de presse pour exprimer leur souhait de voir une justice équitable rendue lors du procès en appel prévu le 24 juillet 2024. Ils ont réaffirmé l’innocence de ces deux hommes et exigé leur libération immédiate, tout en dénonçant ce qu'ils qualifient d'arrestations illégales.
Nicolas Bassène, un proche des détenus, a déclaré : « Nous avons vécu durant cinq ans l’emprisonnement de personnes innocentes qui ont œuvré corps et âme pour la paix en Casamance. Nous voulons dire à la justice de se racheter lors de ce procès en appel. » Cette déclaration souligne l'intensité du soutien et la frustration des proches face à la situation actuelle.
Le mouvement Vision Citoyenne a également appelé à une mobilisation générale des étudiants et des citoyens pour assister au procès. « Nous prônons pour que les acquittés soient indemnisés, car sinon les erreurs de justice vont se répéter. Les agneaux ne seront plus sacrifiés car l’heure des sacrifices judiciaires est révolue », a affirmé le coordonnateur du mouvement.
Madia Diop Sané a largement critiqué la gestion du dossier, qu'il considère toujours mal pris en charge par la justice. Il a détaillé les accusations et les appels en cours : « René Capin Bassène, Omar Ampouye Bodian, Aliou Badara Sané, Abdoulaye Diédhiou et César Atoute Badiate doivent comparaître suite à l’appel introduit par les avocats de René Capin Bassène et Omar Ampouye Bodian. Le parquet de Ziguinchor a également introduit un appel pour Aliou Badara Sané et Abdoulaye Diédhiou, condamnés à six mois de sursis pour détention arbitraire d’arme sans autorisation préalable. »
Le procès en appel de l'affaire Boffa Bayotte est désormais sous les projecteurs, avec des appels à la justice pour corriger ce que beaucoup considèrent comme des injustices graves. La société civile continue de suivre de près les développements de ce dossier, espérant un verdict qui rendra justice aux accusés et mettra fin à ce qu'ils appellent une machination judiciaire.
Nicolas Bassène, un proche des détenus, a déclaré : « Nous avons vécu durant cinq ans l’emprisonnement de personnes innocentes qui ont œuvré corps et âme pour la paix en Casamance. Nous voulons dire à la justice de se racheter lors de ce procès en appel. » Cette déclaration souligne l'intensité du soutien et la frustration des proches face à la situation actuelle.
Le mouvement Vision Citoyenne a également appelé à une mobilisation générale des étudiants et des citoyens pour assister au procès. « Nous prônons pour que les acquittés soient indemnisés, car sinon les erreurs de justice vont se répéter. Les agneaux ne seront plus sacrifiés car l’heure des sacrifices judiciaires est révolue », a affirmé le coordonnateur du mouvement.
Madia Diop Sané a largement critiqué la gestion du dossier, qu'il considère toujours mal pris en charge par la justice. Il a détaillé les accusations et les appels en cours : « René Capin Bassène, Omar Ampouye Bodian, Aliou Badara Sané, Abdoulaye Diédhiou et César Atoute Badiate doivent comparaître suite à l’appel introduit par les avocats de René Capin Bassène et Omar Ampouye Bodian. Le parquet de Ziguinchor a également introduit un appel pour Aliou Badara Sané et Abdoulaye Diédhiou, condamnés à six mois de sursis pour détention arbitraire d’arme sans autorisation préalable. »
Le procès en appel de l'affaire Boffa Bayotte est désormais sous les projecteurs, avec des appels à la justice pour corriger ce que beaucoup considèrent comme des injustices graves. La société civile continue de suivre de près les développements de ce dossier, espérant un verdict qui rendra justice aux accusés et mettra fin à ce qu'ils appellent une machination judiciaire.