
Une vidéo circulant sur les réseaux sociaux depuis quelques jours a provoqué la réaction officielle de la famille Mobutu. Dans un communiqué signé par Nzanga Mobutu, la famille de l’ancien président zaïrois a tenu à rétablir la vérité face à ce qu’elle qualifie d’"usurpation d’identité".
Selon le communiqué, un individu récemment apparu dans les rangs du groupe rebelle AFC/M23, et se présentant comme un membre de la famille Mobutu, n’a "aucun lien, de quelque nature que ce soit" avec le clan familial du Maréchal Mobutu Sese Seko. "Il ne dispose ni de la légitimité ni du droit d’invoquer notre nom", insiste la déclaration.
La famille rappelle qu’à aucun moment, un de ses membres ne prendrait les armes contre la Patrie. "À aucun moment et en aucune circonstance un membre de la famille Mobutu ne prendrait les armes contre la Patrie", peut-on lire dans le texte.
Le communiqué révèle par ailleurs que cette situation n’est pas nouvelle : les proches de l’ancien chef de l’État affirment avoir déjà alerté les autorités compétentes et déposé une plainte contre l’individu concerné pour usurpation d’identité.
Cette mise au point intervient alors que la rébellion du M23, active dans l’est de la République démocratique du Congo, continue de semer l’inquiétude au sein de la population et d’alimenter les tensions diplomatiques dans la région des Grands Lacs.
Selon le communiqué, un individu récemment apparu dans les rangs du groupe rebelle AFC/M23, et se présentant comme un membre de la famille Mobutu, n’a "aucun lien, de quelque nature que ce soit" avec le clan familial du Maréchal Mobutu Sese Seko. "Il ne dispose ni de la légitimité ni du droit d’invoquer notre nom", insiste la déclaration.
La famille rappelle qu’à aucun moment, un de ses membres ne prendrait les armes contre la Patrie. "À aucun moment et en aucune circonstance un membre de la famille Mobutu ne prendrait les armes contre la Patrie", peut-on lire dans le texte.
Le communiqué révèle par ailleurs que cette situation n’est pas nouvelle : les proches de l’ancien chef de l’État affirment avoir déjà alerté les autorités compétentes et déposé une plainte contre l’individu concerné pour usurpation d’identité.
Cette mise au point intervient alors que la rébellion du M23, active dans l’est de la République démocratique du Congo, continue de semer l’inquiétude au sein de la population et d’alimenter les tensions diplomatiques dans la région des Grands Lacs.