Le journaliste René Capain Bassène, actuellement emprisonné dans le cadre de l'affaire de la tuerie de Boffa Bayotte, est de nouveau devant le tribunal le 24 juillet 2024. Il continue de clamer son innocence.
Lors de l'audience, après la plaidoirie de son avocat, Me Clédor Ly, le juge a interrogé René Capain sur ses échanges par courriels avec un certain Ousmane Tamba. René a catégoriquement nié avoir envoyé des mails à cette personne. Le juge, cependant, soutient que le journaliste est l'auteur des courriels incriminés. En réponse, René réfute cette accusation en affirmant que s'il était effectivement l'auteur des mails, il n'aurait pas demandé une contre-expertise.
Malgré ces dénégations, le juge insiste en affirmant que René Capain a reconnu l'envoi des courriels devant son avocat. René a répliqué en expliquant que, vers 20 h, son avocat était parti, et que le juge d'instruction l'avait alors mis dehors.
Selon lui, le juge et son substitut se sont enfermés pour rédiger un procès-verbal, et René n’a pas été autorisé à assister à cette rédaction. Il a précisé qu'après le départ de Me Ly, il avait refusé de répondre à toute question sans la présence de son avocat.
Le juge, mécontent de cette attitude, aurait alors mis René dehors avant de rédiger le procès-verbal. René a également affirmé qu'il n'avait ni bu ni mangé de 10 h à 1 h du matin, ce qui souligne les conditions difficiles dans lesquelles il se trouvait. L'audience se poursuit nous reviendrons
Lors de l'audience, après la plaidoirie de son avocat, Me Clédor Ly, le juge a interrogé René Capain sur ses échanges par courriels avec un certain Ousmane Tamba. René a catégoriquement nié avoir envoyé des mails à cette personne. Le juge, cependant, soutient que le journaliste est l'auteur des courriels incriminés. En réponse, René réfute cette accusation en affirmant que s'il était effectivement l'auteur des mails, il n'aurait pas demandé une contre-expertise.
Malgré ces dénégations, le juge insiste en affirmant que René Capain a reconnu l'envoi des courriels devant son avocat. René a répliqué en expliquant que, vers 20 h, son avocat était parti, et que le juge d'instruction l'avait alors mis dehors.
Selon lui, le juge et son substitut se sont enfermés pour rédiger un procès-verbal, et René n’a pas été autorisé à assister à cette rédaction. Il a précisé qu'après le départ de Me Ly, il avait refusé de répondre à toute question sans la présence de son avocat.
Le juge, mécontent de cette attitude, aurait alors mis René dehors avant de rédiger le procès-verbal. René a également affirmé qu'il n'avait ni bu ni mangé de 10 h à 1 h du matin, ce qui souligne les conditions difficiles dans lesquelles il se trouvait. L'audience se poursuit nous reviendrons