Alors qu’un important don d’équipements médicaux a été fait au Bénin, par un organisme français, les autorités béninoises ont décidé de refuser tout simplement le don.
En effet, il n’est pas rare de voir arriver sur le sol africain des tonnes de médicaments ou dispositifs médicaux en provenance de pays occidentaux, sous forme de dons. Mais ces médicaments ou équipements sont pour la plus part proches des dates de péremptions, usagés ou vétustes. Et c’est justement cette raison qui a poussé le gouvernement béninois à refuser ce don, rapporte le ministre béninois de la Santé publique Alassane Seidou, aux parlementaires.
« Les équipements qui nous sont proposés par nos partenaires sont des équipements usagés d’un âge moyen se situant entre 10 et 15 ans » a t-il affirmé
Ce matériel, résultant d’un partenariat entre le gouvernement de l’ancien président béninois Thomas Yayi Boni et le Centre Hospitalier Régional d’Orléans en France, était destiné au Centre Hospitalier départemental et Universitaire de Borgou et l’Alibori de Parakou.
Toute fois Monsieur Alassane Seidou s’est voulu rassurant en apprenant que le gouvernement a déjà prévu l’achat de tous ces matériels en état neuf, dans le cadre du Programme d’Action du Gouvernement (PAG).
Le gouvernement béninois serait également entrain de tout mettre en œuvre pour renforcer la qualité des prestations sanitaires publiques dans le pays, ce qui reste conditionné par celle des équipements.
« Le gouvernement n’a pas trouvé opportun d’accepter ce matériel qui pourrait entraîner des contre-performances au niveau du diagnostic », affirme Alassane Seidou, ministre de la santé publique du Bénin.
cette décision émanant du chef de l’Etat Patrice Talon a plutôt été bien accueillie par l’opinion béninoise et même au-delà. Même si pour certains cela est vu comme « un excès d’orgueil national au vu des besoins pour les populations démunies ». Pour la plupart il est clair que « l’Afrique ne devrait pas être la poubelle des pays développés ».
En effet, il n’est pas rare de voir arriver sur le sol africain des tonnes de médicaments ou dispositifs médicaux en provenance de pays occidentaux, sous forme de dons. Mais ces médicaments ou équipements sont pour la plus part proches des dates de péremptions, usagés ou vétustes. Et c’est justement cette raison qui a poussé le gouvernement béninois à refuser ce don, rapporte le ministre béninois de la Santé publique Alassane Seidou, aux parlementaires.
« Les équipements qui nous sont proposés par nos partenaires sont des équipements usagés d’un âge moyen se situant entre 10 et 15 ans » a t-il affirmé
Ce matériel, résultant d’un partenariat entre le gouvernement de l’ancien président béninois Thomas Yayi Boni et le Centre Hospitalier Régional d’Orléans en France, était destiné au Centre Hospitalier départemental et Universitaire de Borgou et l’Alibori de Parakou.
Toute fois Monsieur Alassane Seidou s’est voulu rassurant en apprenant que le gouvernement a déjà prévu l’achat de tous ces matériels en état neuf, dans le cadre du Programme d’Action du Gouvernement (PAG).
Le gouvernement béninois serait également entrain de tout mettre en œuvre pour renforcer la qualité des prestations sanitaires publiques dans le pays, ce qui reste conditionné par celle des équipements.
« Le gouvernement n’a pas trouvé opportun d’accepter ce matériel qui pourrait entraîner des contre-performances au niveau du diagnostic », affirme Alassane Seidou, ministre de la santé publique du Bénin.
cette décision émanant du chef de l’Etat Patrice Talon a plutôt été bien accueillie par l’opinion béninoise et même au-delà. Même si pour certains cela est vu comme « un excès d’orgueil national au vu des besoins pour les populations démunies ». Pour la plupart il est clair que « l’Afrique ne devrait pas être la poubelle des pays développés ».