Le Cadre de Réflexion et d'Actions Tijaani - "Wattu Sunu Diiné" a exprimé son indignation après la diffusion sur les réseaux sociaux de vidéos montrant une scène où des hommes, alignés derrière un imam autoproclamé, prient en langue wolof. Cette mise en scène, jugée grotesque et dégradante, semble ridiculiser les rites sacrés de l'Islam.
Selon plusieurs sources, ces individus se revendiquent d’un courant pseudo-spirituel issu du mouvement Kemit, prétendant réinterpréter l’héritage religieux africain. Toutefois, cette tentative de révisionnisme va au-delà de la simple quête d'identité culturelle. Il s'agit d'une tentative manifeste de dénaturer les principes fondamentaux de l'Islam, de tourner en dérision les pratiques religieuses et de tromper ceux qui cherchent à suivre la voie authentique de la foi musulmane.
Dans un communiqué, le Cadre de Réflexion et d'Actions Tijaani a fermement condamné cette pratique, en rappelant que la prière est un acte sacré, encadré par des règles strictes. « La profanation de la prière de cette manière relève non seulement de l’ignorance, mais aussi du blasphème », ont-ils affirmé. Le C.R.A.T insiste sur le fait que l’Islam n’a pas besoin d’être réinventé, mais plutôt compris, pratiqué avec sincérité et défendu avec dignité.
En réaction à ces dérives, le C.R.A.T se réserve le droit d’utiliser tous les moyens légaux nécessaires pour faire respecter les principes de la foi musulmane, y compris en déposant une plainte pour blasphème si nécessaire. « La liberté d’expression ne saurait servir de prétexte à l’irrespect du sacré », ont-ils ajouté.
Selon plusieurs sources, ces individus se revendiquent d’un courant pseudo-spirituel issu du mouvement Kemit, prétendant réinterpréter l’héritage religieux africain. Toutefois, cette tentative de révisionnisme va au-delà de la simple quête d'identité culturelle. Il s'agit d'une tentative manifeste de dénaturer les principes fondamentaux de l'Islam, de tourner en dérision les pratiques religieuses et de tromper ceux qui cherchent à suivre la voie authentique de la foi musulmane.
Dans un communiqué, le Cadre de Réflexion et d'Actions Tijaani a fermement condamné cette pratique, en rappelant que la prière est un acte sacré, encadré par des règles strictes. « La profanation de la prière de cette manière relève non seulement de l’ignorance, mais aussi du blasphème », ont-ils affirmé. Le C.R.A.T insiste sur le fait que l’Islam n’a pas besoin d’être réinventé, mais plutôt compris, pratiqué avec sincérité et défendu avec dignité.
En réaction à ces dérives, le C.R.A.T se réserve le droit d’utiliser tous les moyens légaux nécessaires pour faire respecter les principes de la foi musulmane, y compris en déposant une plainte pour blasphème si nécessaire. « La liberté d’expression ne saurait servir de prétexte à l’irrespect du sacré », ont-ils ajouté.