La prostitution en ligne, une pratique qui était une exclusivité des continents européen et américain en particulier, est en train de gagner dangereusement du terrain à Thiès. Une activité qui emploie désormais de nombreuses filles, «esclaves» du mimétisme puisé à travers les réseaux sociaux.
En effet, nombre de Thiessois ont constaté, depuis quelque temps, qu'«un réseau de prostitution gagne du terrain sur Facebook. À travers des publications, on voit des filles âgées de 17 à 30 ans se faire de la publicité pour attirer l'attention des clients qui souhaiteraient passer d'agréables moments avec....».
Ce père de famille, D. F., cadre dans une société de la place, s'en désole : «Cette nouvelle forme de prostitution en ligne consistant à attirer des clients via les réseaux sociaux comme Facebook, Tik Tok et Instagram, qui n'était visible que dans les sociétés occidentales, s'exerce, surtout, dans certains lointains nouveaux quartiers résidentiels de Thiès».
Une source remarque que «nombre de filles qui évoluent dans ce cercle, avec la possibilité d'encaisser, chaque jour, un minimum de 50 000 F CFA, se livrent à des communications érotiques payantes, à distance, avec leurs partenaires». La plupart n'habitent pas le domicile familial.
seneweb
En effet, nombre de Thiessois ont constaté, depuis quelque temps, qu'«un réseau de prostitution gagne du terrain sur Facebook. À travers des publications, on voit des filles âgées de 17 à 30 ans se faire de la publicité pour attirer l'attention des clients qui souhaiteraient passer d'agréables moments avec....».
Ce père de famille, D. F., cadre dans une société de la place, s'en désole : «Cette nouvelle forme de prostitution en ligne consistant à attirer des clients via les réseaux sociaux comme Facebook, Tik Tok et Instagram, qui n'était visible que dans les sociétés occidentales, s'exerce, surtout, dans certains lointains nouveaux quartiers résidentiels de Thiès».
Une source remarque que «nombre de filles qui évoluent dans ce cercle, avec la possibilité d'encaisser, chaque jour, un minimum de 50 000 F CFA, se livrent à des communications érotiques payantes, à distance, avec leurs partenaires». La plupart n'habitent pas le domicile familial.
seneweb