Un tournant majeur dans l’histoire du Sénégal. Le gouvernement du Président Diomaye Diakharé Faye, sous la direction du Premier ministre Ousmane Sonko, a décidé de débaptiser le Boulevard Charles de Gaulle pour lui attribuer le nom de Mamadou Moustapha Dia, ancien Président du Conseil et figure emblématique de la lutte pour l’indépendance du pays.
Cette décision, saluée par de nombreux mouvements souverainistes, marque, selon le Mouvement des Militants Diaistes Authentiques (MDA), une rupture avec l’héritage colonial et une reconnaissance du combat de Mamadou Dia pour un Sénégal véritablement indépendant.
Le Directoire National du MDA a exprimé sa gratitude envers les nouvelles autorités. Son porte-parole, Papa Ibrahima Sy, a souligné la portée symbolique de cette initiative. « Le Président Diomaye Diakharé Faye et son gouvernement ont posé un acte de haute portée historique et souverainiste en débaptisant le Boulevard Charles de Gaulle pour lui donner le nom d’un digne fils du peuple sénégalais : Mamadou Moustapha Dia », a déclaré Papa Ibrahima Sy.
Il a rappelé le rôle central joué par Mamadou Dia dans la souveraineté du Sénégal. « Le Président Mamadou Dia a été un fervent combattant de l’indépendance de notre pays. C’est en ce sens que, le 4 avril 1960, il a signé l’acte de naissance international de la République souveraine du Sénégal », a-t-il précisé.
Selon lui, cette reconnaissance tardive permet de rétablir une vérité occultée par le système post-colonial. « Cet acte hautement historique réhabilite Mamadou Dia, que le système post-colonial avait confiné dans l’ombre, et l’expose enfin à la lumière éclatante du soleil de notre temps ».
Une page coloniale tournée
Pour le MDA, ce changement de nom n’est pas qu’un simple acte administratif. Il symbolise une volonté plus large de réaffirmer l’identité sénégalaise et de couper définitivement avec l’héritage colonial. « Que de symboles, pour ceux parmi les Africains, qui peuvent décrypter la finesse du message du Président Diomaye ! », s’est enthousiasmé Papa Ibrahima Sy.
Et d’ajouter : « Cet acte historique tourne définitivement la page coloniale au Sénégal et marque un grand pas du ‘Jubbanti’ pour le rétablissement et la réhabilitation des dignes fils du pays dans leur droit ».
Cette décision, saluée par de nombreux mouvements souverainistes, marque, selon le Mouvement des Militants Diaistes Authentiques (MDA), une rupture avec l’héritage colonial et une reconnaissance du combat de Mamadou Dia pour un Sénégal véritablement indépendant.
Le Directoire National du MDA a exprimé sa gratitude envers les nouvelles autorités. Son porte-parole, Papa Ibrahima Sy, a souligné la portée symbolique de cette initiative. « Le Président Diomaye Diakharé Faye et son gouvernement ont posé un acte de haute portée historique et souverainiste en débaptisant le Boulevard Charles de Gaulle pour lui donner le nom d’un digne fils du peuple sénégalais : Mamadou Moustapha Dia », a déclaré Papa Ibrahima Sy.
Il a rappelé le rôle central joué par Mamadou Dia dans la souveraineté du Sénégal. « Le Président Mamadou Dia a été un fervent combattant de l’indépendance de notre pays. C’est en ce sens que, le 4 avril 1960, il a signé l’acte de naissance international de la République souveraine du Sénégal », a-t-il précisé.
Selon lui, cette reconnaissance tardive permet de rétablir une vérité occultée par le système post-colonial. « Cet acte hautement historique réhabilite Mamadou Dia, que le système post-colonial avait confiné dans l’ombre, et l’expose enfin à la lumière éclatante du soleil de notre temps ».
Une page coloniale tournée
Pour le MDA, ce changement de nom n’est pas qu’un simple acte administratif. Il symbolise une volonté plus large de réaffirmer l’identité sénégalaise et de couper définitivement avec l’héritage colonial. « Que de symboles, pour ceux parmi les Africains, qui peuvent décrypter la finesse du message du Président Diomaye ! », s’est enthousiasmé Papa Ibrahima Sy.
Et d’ajouter : « Cet acte historique tourne définitivement la page coloniale au Sénégal et marque un grand pas du ‘Jubbanti’ pour le rétablissement et la réhabilitation des dignes fils du pays dans leur droit ».