En 2022, une affaire choquante éclate à Tambacounda, impliquant A. T. Ndiaye, un cultivateur accusé d’agression sexuelle sur une fille de 13 ans, M. Diallo, surnommée Marly. Le verdict est tombé récemment : 10 ans de réclusion criminelle prononcés par la Chambre criminelle de Tambacounda, qui a suivi le réquisitoire du Procureur.
Selon les informations rapportées par L'Observateur, tout a commencé lorsque la mère de la victime a demandé à sa fille d’aider A. T. Ndiaye à récolter des arachides dans son champ. Marly, partie sur place avec le neveu du prévenu, aurait été isolée après que celui-ci a envoyé l’enfant accomplir une commission. C’est alors que l’agression aurait eu lieu, selon la déclaration de la victime.
Face à ces graves accusations, le père de Marly a déposé plainte, accompagné d’une sage-femme pour appuyer le dossier. Lors de son interrogatoire, le prévenu a reconnu certains faits, affirmant avoir amené la victime et son neveu dans son champ. Il a cependant nié toute pénétration, déclarant s’être contenté de « flirter » et de « se frotter à elle ». Des propos qu’il maintient en dénonçant un prétendu complot contre lui.
Cependant, la partie civile, soutenue par des éléments médico-légaux, affirme que l’acte a bien dépassé ce que le prévenu admet. Les accusations détaillent une tentative de dissimulation de la vérité, notamment par des gestes visant à empêcher la victime de crier.
Les déclarations de l’accusé n’ont pas convaincu le tribunal, qui a rendu une décision conforme à la gravité des faits reprochés. Cette affaire, marquée par les témoignages poignants de la victime et les conclusions du ministère public, a suscité une vive émotion dans la région.
Selon les informations rapportées par L'Observateur, tout a commencé lorsque la mère de la victime a demandé à sa fille d’aider A. T. Ndiaye à récolter des arachides dans son champ. Marly, partie sur place avec le neveu du prévenu, aurait été isolée après que celui-ci a envoyé l’enfant accomplir une commission. C’est alors que l’agression aurait eu lieu, selon la déclaration de la victime.
Face à ces graves accusations, le père de Marly a déposé plainte, accompagné d’une sage-femme pour appuyer le dossier. Lors de son interrogatoire, le prévenu a reconnu certains faits, affirmant avoir amené la victime et son neveu dans son champ. Il a cependant nié toute pénétration, déclarant s’être contenté de « flirter » et de « se frotter à elle ». Des propos qu’il maintient en dénonçant un prétendu complot contre lui.
Cependant, la partie civile, soutenue par des éléments médico-légaux, affirme que l’acte a bien dépassé ce que le prévenu admet. Les accusations détaillent une tentative de dissimulation de la vérité, notamment par des gestes visant à empêcher la victime de crier.
Les déclarations de l’accusé n’ont pas convaincu le tribunal, qui a rendu une décision conforme à la gravité des faits reprochés. Cette affaire, marquée par les témoignages poignants de la victime et les conclusions du ministère public, a suscité une vive émotion dans la région.