Dés l'arrivée du président Weah à Dakar, exclusif.net a alerté sur ce scandale. Au lendemain les répondeurs automatiques de l'APR ont pondu un communiqué pour tenter de démentir.
Dans son numéro à paraitre, Jeune Afrique nous informe que George Weah, qui était en visite officielle en France, a quitté Paris le 23 février à 5 heures du matin à bord d'un avion prêté par le chef de l'État sénégalais.
En plus cela confirme les écrits de Dakaractu, qui révélait que le président de la République du Libéria est arrivé, le 15 février passé, à l’aéroport militaire Léopold Sédar Senghor à 11h 50, à bord de la Pointe Sarène, sous le code Libe 001.
Pour mémoire, on avait expliqué que c’est faute d’avion que le président Weah avait décalé d’un jour son voyage au pays de la Teranga.
C’est dire que l’ancien footballeur, en accédant au pouvoir dans un pays qui subit encore les contrecoups d’une longue guerre civile et de la corruption de ses élites, a trouvé les caisses de l’Etat presque vides. D’ailleurs, le successeur de Mme Sirleaf avait mentionné cet état de quasi-banqueroute lors de la conférence de presse qu’il avait conjointement animée avec son homologue sénégalais.
REGARDEZ
Dans son numéro à paraitre, Jeune Afrique nous informe que George Weah, qui était en visite officielle en France, a quitté Paris le 23 février à 5 heures du matin à bord d'un avion prêté par le chef de l'État sénégalais.
En plus cela confirme les écrits de Dakaractu, qui révélait que le président de la République du Libéria est arrivé, le 15 février passé, à l’aéroport militaire Léopold Sédar Senghor à 11h 50, à bord de la Pointe Sarène, sous le code Libe 001.
Pour mémoire, on avait expliqué que c’est faute d’avion que le président Weah avait décalé d’un jour son voyage au pays de la Teranga.
C’est dire que l’ancien footballeur, en accédant au pouvoir dans un pays qui subit encore les contrecoups d’une longue guerre civile et de la corruption de ses élites, a trouvé les caisses de l’Etat presque vides. D’ailleurs, le successeur de Mme Sirleaf avait mentionné cet état de quasi-banqueroute lors de la conférence de presse qu’il avait conjointement animée avec son homologue sénégalais.
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